7 février 2016
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Mi rad-soc, mi escroc. Du radicalisme il a gardé l’appétence à politiquement ne rien faire. Quant à ses tromperies elles ont concerné aussi bien ses électeurs bernés par ses fausses promesses que ses concurrents abusés par sa prétendue bonhomie.
Marie-France Garaud l'avait définitivement jugé : "il n'était pas du marbre dont on fait les statues mais de la faïence dont on fait les bidets". Sa place est dans les égouts de l'histoire.