14 février 2016
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Installées dans les lieux les moins sacrés possibles comme les gymnases, les salles polymodales, les maisons des jeunes et de la culture, pour y abriter les corps des victimes d’accidents ou d’attentats. Est la première étape d’un calvaire marqué par des marches blanches, des offrandes de vieux bouquets, de bougies plantées dans des coupelles en alu, voire des messages de toutes les dames et demoiselles Michu des environs. On refuserait de mourir rien que de penser à toutes les avanies que pourrait nous faire subir ces afflictions municipales.