« Principaux constats établis dans le cadre d’une étude du CSA :
- - une amélioration de la représentation des personnes vues comme « non-blanches » à la télévision ;
- - des personnes perçues comme « non-blanches » plus représentées dans les fictions que dans les autres programmes (information, magazines et documentaires) ;
- - une faible proportion de personnages perçus comme « non-blancs » dans des rôles de héros ;
- - une surreprésentation des personnes vues comme « non-blanches » dans des rôles à connotation négative ;
- - une surreprésentation des catégories socio-professionnelles supérieures ;
- - les personnes en situation de précarité inexistantes à la télévision ;
- - une part de personnes perçues comme « non-blanches » plus importante dans les activités marginales, illégales ou en situation de précarité ;
- - une sous-représentation persistante des plus jeunes et des plus âgés ;
- un niveau toujours très faible de la représentation du handicap à l’antenne. »
Quelle est cette officine qui s’exprime de façon aussi abstruse ?
Mélange de cuistre, de bien-pensant, de technocratie, probables excrétions de fronts bas qui à force de nier la réalité, ont perdu la capacité de s’exprimer clairement.
N’y aurait-il pas un racisme sous-jacent dans l’idée même d’accorder une quelconque importance au taux de mélanine dans la peau ?
N’y aurait-il pas de la confusion mentale soit à assimiler les arabes à des africains non parfaitement blanchis, soit à l’inverse de considérer que les maghrébins ne font pas partie des minorités insuffisamment présentes sur les ondes ?
N’y aurait pas du crétinisme militant à geindre sur la prépondérance des élites dans les médias pour demander plus de présence de sous doués ? L’erreur d’analyse est d’ailleurs flagrante vu le niveau affligeant des zozos qui accaparent les micros !
Quelle est cette prétendue compassion pour les personnes handicapées jusqu’à vouloir les faire monter sur scène : voudrait-on retourner aux « lancer de nains », exposition de « monstres » et autres horreurs ?
Toujours cette ambition de contrôler, de formater, d’imposer des guides de pensée, de présentation ; véritable incitation à vouloir toujours plus enfermer les médias dans un « art officiel de la propagande ». Terrorisme intellectuels de ces goujats (valets au service des puissants) qui s’arrogent une mission qui n’a jamais été demandée que par les plus médiocres des artistes et les moins talentueux des journalistes.