31 janvier 2018
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Un assassin certes.
Mais pire, il a menti pendant trois mois aux médias. Un type auquel on ne peut faire confiance, qui a produit devant les caméras et les micros un chagrin purement factice. Comme le remarquait un journaliste, une forfaiture. Devant le tribunal des pisseurs de lignes et des dégobilleurs de mots il est condamné à la peine suprême : l’exécration publique (l’antonyme de la consécration).