Je ne comprends pas le combat féministe quand il se réduit à des querelles de quotas ; derrière la différence de genre, qui est évidente et ne résume pas à des stéréotypes, la seule chose qui compte est qu’il existe un être humain. Il faut le défendre quand il est agressé, insulté, méprisé ; la détermination du sexe est accessoire dans ces cas.
Je suis atterré des paroles dites libérées de femmes qui se sont plaintes d’un Weinstein qui, dans sa chambre, sortait nu de sa salle de bains. Elles nous prennent pour des imbéciles ? Elles sont montées, comme l’indiquait jadis la sous-maîtresse.
Je suis affligé des propos d’une Sophie Marceau qui réclamait hier une parité dans la production des films en France entre réalisateurs masculins et féminins. Elle se sent incapable de réussir avec ses seuls talents ? Joli châssis, rien dans la cafetière, disait quelqu’un qui avait tourné avec elle.
Je suis parfaitement indifférent à ces querelles de répartition des tâches ménagères, sauf à penser que certaines ont plus de talents que d’autres pour élever des enfants en bas âge. Faudrait-il juger insultant de devoir prendre en main l’éducation des très jeunes ? Beaucoup considèrent pourtant que c’est une période essentielle dans toute éducation.
Quand finiront ces monologues vaginaux péremptoires qui font la joie de toutes ces pimbêches, Caroline de Haas, Roselyne Bachelot et autres Marlène Schiappa ! Vivement un peu de dialogue entre le masculin et le féminin.