« Je prends mon pied avec … la plus belle des cathédrales du monde » disait naguère Philippe Villeneuve architecte en chef des monuments historiques ; on lui souhaite de le prendre lorsqu’il devra s’expliquer devant les juridictions compétentes pour son incompétence, son défaut de surveillance et sa prouesse d’avoir réussi à laisser brûler de que ses collègues avaient mis huit siècles à édifier et protéger.
Le pape François est attendu avec impatience au chevet de Notre Dame ; il a oublié de préciser dans ses diverses interventions qu’il allait venir à Paris ; nul doute qu’il arrivera à caser ce pèlerinage entre Maroc, Egypte et autres pays sud-américains. Après avoir loupé la cathédrale de Mossoul il serait dommage qu’il loupe celle de Paris.
La reine de l’Hôtel de Ville, Notre Drame de Paris, a omis de prononcer le mot de catholique pendant qu’elle se trémoussait sur le parvis entre Monseigneur Chauvet et le président Macron. Un mot terrifiant qui recouvre des populations haïes qu’il convient de laisser de côté, même devant leur lieu de culte en flammes, pour ne pas effaroucher les électeurs d'Anne Hidalgo.
Sans oublier le gilet jaune de service qui pleurait à l’antenne parce que les dons promis par de riches familles et de grands groupes pour la restauration de la cathédrale ne venaient pas dans la poche de ces pauvres malheureux qui n’ont gardé comme religion que le culte de la consommation.
"Je m’en fiche de Notre-Dame car je m’en fiche de l’histoire de France" disait enfin Hafsa Haskar ; Madji Chaarana, Edouard Le Bert autres responsables de l’UNEF tiennent des propos analogues. Parmi les rationalisations du budget de l'Etat : pourquoi ne pas réorienter ses subventions à l’UNEF vers la reconstruction de lieux de culte.