20 mai 2019
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Je déteste les « hommes vides ». Murakami a précisé qu’avec leurs mots creux, ils essaient d’imposer leur propre insensibilité aux autres. Macron a confirmé avec son mépris pour ceux qui seront les gilets jaunes qu’il était sans fond. Il a prouvé avec son traitement de la crise par le grand débat qu’il était de cette race qui colporte des slogans pour mieux étouffer la voix du peuple.
La campagne de Loiseau a du plomb dans l’aile. Au tour de la baudruche, qui tente de la remplacer, de se dégonfler.