Pauvre imitation de Marie-Antoinette : « Si le carburant est trop cher, ils n’ont qu’à faire du vélo. »
Féministe aux limites de la bêtise : « la crise de 2008 est due en partie à un excès de testostérone ».
Toujours étayée dans les postes qu’elle occupe : Sarkozy l’avait nommée à Bercy parce qu’il comptait sur son directeur de cabinet Stéphane Richard; Obama avait accepté qu’elle prenne la direction du FMI parce qu’il pouvait compter sur son chef économiste, Olivier Blanchard.
Jamais en reste de servilité, comme dans sa lettre à Sarkozy : « si tu m’utilises, j’ai besoin de toi comme guide et comme soutien ».
Toujours prête à trahir : pour la décision de proposer un arbitrage pour l’affaire Tapie, elle n’hésite pas à dénoncer son directeur de Cabinet Stéphane Richard de lui avoir fait signer une lettre sans l’informer de son contenu.
Pourtant les médias hagards n’hésitent pas à parler du parcours sans fautes de Christine Lagarde. Parce qu’elle parle anglais ? La belle affaire. Parce qu’elle aurait été avocate ? La vérité est qu’elle n’était pas une des stars de Baker et Mackenzie mais une administrative affublée du titre décoratif présidente. Alors pourquoi ?