La comedia dell’arte bat son plein. Le Capitan, interprété par le gouvernement italien, appuyé sur les doctes avis du docteur Balanzone qui représente les experts, mystifie Pantalone qui n’est rien d’autre que le peuple crédule. Pour cacher l’échec de l’hôpital italien inapte à juguler une grippe un peu méchante, le président Conte met tout le monde en prison !
La paranoïa saisit tous les gouvernements de la terre qui étalent à qui mieux mieux leur panique devant un phénomène insaisissable, leur égoïsme populisto-nationaliste, et leur à-plat-ventrisme devant des experts qui annoncent benoitement que de toute façon ils n’ont aucun médicament pour guérir les malades.
Et tous d’annoncer des morts fictifs : morts de quoi ? du coronavirus ou de pathologies qu’avaient déjà les contaminés ?
Et tous d’annoncer des taux de décès imaginaires : personne ne connait le nombre d’infectés par le coronavirus, et donc personne ne peut mathématiquement indiquer un taux de décès parmi les contaminés.
Et tous d’annoncer le nombre de morts, oubliant qu’il est beaucoup plus probable que nous mourions assassinés ou par suicide que de l’attaque du coronavirus.
Ne serait-il pas opportun d’enfin répandre ce que disent beaucoup d’infectiologues : de l’hygiène, de la patience, et cette épidémie disparaîtra d’elle-même quand la moitié de la population aura été contaminée.