Le terrorisme que fait régner le personnel de santé devient insupportable. Ils sont incapables de soigner les malades du coronavirus, ils peuvent tout au plus accompagner les quelques sérieusement atteints dans des mouroirs baptisés services de réanimation des hôpitaux. Ils ne disposent d’aucun remède (baptisés molécules pour faire scientifique) et refusent d’envisager le meilleur moyen d’arrêter l’épidémie qui est la répartition rapide de la contamination et l’immunisation collective qui en résulterait. Leur seul argument est qu’il faut protéger l’hôpital ! Mais pour quoi faire ? Ils n’ont pas d’autre fonction que de prodiguer des soins palliatifs avant, soit que le patient trouve en lui-même ses propres défenses, soit de faire passer les cadavres à la morgue.
L’arrogance de ces médicastres entend imposer des priorités qui ne sont pas les miennes : ne plus voir personne, ne plus bouger de chez soi, ne plus prier, ne penser qu’à sa précieuse petite santé. Pour moi un impératif : il est d’urgent qu’ils se taisent.