L’horreur de ce virus est qu’il a des comportements peu appropriés : il fait des différences entre les genres et frappe trois fois plus les hommes que les femmes ; il fait des différences entre les races et s’intéresse plus aux ressortissants africains; complètement immoral il n’attaque pas les gros fumeurs car il est allergique à la nicotine.
En analysant les stratégies de ce Covid (numéroté 19, style dynastie royale), on s’aperçoit qu’il se comporte plutôt comme un charognard et s’attaque victorieusement à ceux qui sont déjà proches de la mort par leur âge et leurs comorbidités ou encore à ceux qui se sont abandonnés à l’obésité.
Pernicieux, il s’attaque aux poumons des faibles, pour, dans une action paulienne, mieux viser les cerveaux de ceux qui étaient censés le combattre. Un carnage. Les élites déboussolées s’agitent dans un mouvement brownien qu’il attise. Les neurones des esprits forts, des gens d’action, des puissants qui nous gouvernent sont ramollis, deviennent spongieux, sous son influence perverse.
Vedette incroyable des ondes et des écrans, il a rejeté dans l’ombre toutes les vedettes ; il est l’unique sujet des commentaires adulatrices des journaleux aplatis devant cette nouvelle majesté.