Elles sont toutes pareilles. Elles sont toutes les journalistes de France-Inter. Rien ne les distingue vraiment l’une de l’autre, qu’elles soient jeunes ou vieilles (le plus souvent), moches (certaines) ou sexy, méritantes ou gagneuses (pas rare) : une seule idéologie le féminisme militant androphobe, une seule opinion l’humanisme bêlant d’un citoyen affamé de bonheur, un seul engagement l’antiracisme militant portant en triomphe toute culture à condition qu’elle soit originaire d’Afrique du Nord ou du Centre. Dans leur unanimisme, elles ne jurent que couverture sociale, apothéose de la jeunesse, vénération d’une sexualité libertine. Conformistes, pourries de stéréotypes, aveugles à toute déviance qui saccagerait l’égalitarisme interminable qui est leur seule vision.
Pour animer leur sinistre personne, le seul côté amusant est leur incroyable, monstrueux, infini, contentement de soi.