Le grand déconfinateur a raté, cet été, la sortie de l’obscurantisme qui avait accompagné la première vague. Il nous plonge maintenant dans un même confusionisme pour la deuxième vague.
Grand menteur il nous a affirmé que les autres pays européens appliquaient les mêmes mesures sanitaires : que je sache les boutiques sont ouvertes en particulier en Allemagne et en Suisse ; j’imagine qu’il préfère prendre exemple sur les mauvais génies comme l’espagnol Sanchez et l’italien Conte. Tel Pinocchio son nez s’allonge au fur et à mesure que sa popularité s’évanouit.
Grand faussaire il a proposé 20 milliards (on est passé à la dizaine comme unité) pour calmer les petits commerçants. Pourquoi pas, quand on émet de la fausse monnaie le seul effort à faire est de parler. Il devrait finir au bagne comme les manipulateurs de son espèce.
Méprisé de ses ministres, ignoré de ses concitoyens, valet de son maître, il va honorer un professeur qui a montré des dessins obscènes à ses élèves, oublie d’aller à la messe célébrant le deuil de trois catholiques assassinés dans leur église, croit que suivre les conseils d’un conseil scientifique ignare va le sauver des procès qui pourraient le menacer. En bref un pleutre à tendance technocratique.