Ils n’ont pas parlé du rôle de la France dans le monde et de sa survie face à tous les dangers; de la place des français en Europe et dans leur pays et de la continuité de leur culture et de leurs activités; de la protection que l’état doit assurer aux malades, aux infirmes, aux dépendants, aux minorités, aux plus faibles, aux plus jeunes, aux plus vieux; de la survie à assurer d’une démocratie entre le populisme et la technocratie. Ils ont préféré nous assommer de mesures catégorielles, de surenchères clientélistes. Entre celui qui fait illusion en économie avec son absurde « quoi qu’il en coûte », en diplomatie avec son couple « franco-allemand » aux ordres d’égoïstes retraités teutons, en tant que chef d’armées avec sa retraite poutinesque du Mali, et celle qui présente son programme socialo-financier d’extrême-gauche, il n’y a pas à choisir mais à passer au karcher. Un bulletin plus blanc que blanc au second tour de la présidentielle pourrait être le commencement d’un indispensable nettoyage à concrétiser lors des élections législatives.