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18 mai 2022 3 18 /05 /mai /2022 10:58

Longtemps, en France, la possibilité d’avorter ne fut qu’une dérogation à un délit. Comme le prévoyait la loi Veil il fallait que la femme enceinte soit en situation de détresse pour qu’elle puisse légalement avorter. Il serait opportun de revenir à cet état de fait et abolir l’existence d’un droit à l’avortement.

 

Que des nymphomanes imbéciles, au nom d’un droit à la baise et d’une incapacité à prendre leur pilules anti contraceptives viennent réclamer des soins médicaux (pour guérir le stupre et la négligence ?) et de la solidarité (pour rembourser leurs passes ?) laisse pantois.

 

Que certaines réclament le droit de se débarrasser d’un enfant dans leur ventre au nom d’un droit à disposer de son corps laisse perplexe. Qui peut croire d’abord qu’un être humain a le contrôle de son corps ; le premier malade venu viendra vous témoigner que malheureusement ce n’est pas le cas ; les innombrables vieillards sont là pour vous dire qu’ils ne peuvent arrêter les inéluctables conséquences du vieillissement. Qui peut vouloir que sur le mince contrôle corporel que nous exerçons, il soit licite de vendre ses organes, de marchandiser son corps ; personne ; ni la légalisation de la prostitution, ni celle de la gestation pour autrui n’apparaissent vraiment comme de prochaines étapes du progrès. Par quel mystère ce qui paraît non souhaitable dans la maîtrise de son corps, le devient lorsqu’il s’agit de ce qui est le plus beau dans la création : celle d’un nouvel être ? La banalisation de l’enfantement ravalé à une conséquence indésirable est la signature d’une minorité d’avachies. Seules celles qui sont en détresse peuvent utiliser le mot « indésirable ».

 

Les onomatopées qu’éructent dans les médias les femmes « libres » pour défendre leur droit à disposer de leur corps sont la signature d’une montée de l’irrationalité.

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