La gloire de l’IVG, transformée d’une protection sociale de pauvres filles imaginée par Chirac et Giscard et mise en forme par Veil, en une sorte de conquête d’un droit des femmes à disposer de leur corps. Massacre des innocents revendiqué par des faibles d’esprit quand il suffit de savoir lire et appliquer la notice des médicaments de contraception.
L’euthanasie promue comme une conquête d’un prétendu droit de mourir dans la dignité. Hideuse permission d’exécuter ceux devenus « indignes » ? Le fantôme de l’eugénisme rôde quand il est si simple d’accompagner les agonisants dans la tendresse et l’atténuation de la douleur.
La légalisation de drogues vantées comme récréatives quand elles ne sont que tremplin vers la déchéance et l’asservissement. Propension à l’anéantissement qui reflète la terreur d’individus inadaptés au monde. Vivement que l’on matraque d’amendes ces consommateurs qui créent le marché exploité par des trafiquants.