Curieux cette passion de Patrick Cohen, ou du sbire d’Elisabeth Quin, ou d’Anne Sophie Lapix de proclamer « les faits, les faits d’abord » quand leur seule obsession est d’en cacher certains (le type qui a failli être lynché à mort par des habitants du quartier de la Monnaie à Romans), d’en affadir d’autres (le racisme anti-blanc n’a pas été retenu par le procureur malgré les témoignages des gens présents lors de l’attaque de Crépol). Surtout repousser avec vigueur qu’il ne s’agit pas d’une expédition punitive (un rezzou), mais d’une altercation faisant suite à une offense des amis de Crépol de Thomas faite à Chaïd et ses copains de Romans.
Il ne s’agit pas d’une erreur individuelle d’un journaliste qui s’égare mais de toute une ambiance qui pollue le service publique : un déni face aux exactions commises par des bandes de prétendus musulmans qui polluent les cités qu’ils habitent, une paresse pour éviter d’analyser quels sont les actes, qui les commettent, pourquoi ils sont commis.
Le service public prouve une fois de plus son indignité, et aggrave son cas en refusant d’admettre ses erreurs. La seule solution est de se débarrasser de cette protubérance coûteuse qui n’apporte ni vérité, ni qualité. Il faut vendre toutes ces chaines avant que la réalité de leur non-valeur ne se fasse trop aveuglante.