6 mars 2024
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Merveilleux Pavillon des cancéreux : quelle tendresse dans l’individualisation de tous ces médecins et de tous ces malades. Et je me retrouve tellement dans Kostoglotov. Non dans sa vie de relégué, mais dans ses timidités vis-à-vis de celles qui le soignent, de ses impatiences avec les imbéciles, de son désir forcené d’indépendance.