Entre les émissions cul (rien à voir avec le culturel), la promotion permanente de la baise (plutôt homosexuelle), l’adoration du corps et de ses plaisirs (avec une touche spéciale féminine) le pauvre Eros s’en sort mal, brinquebalé entre Lesbos et le miroir aqueux de Narcisse; il est réduit dans la bouche des faiseuses d’histoires de France-Inter (les adeptes du « story telling ») à un vendeur de jouets sexuels, à un dealer de substances chimiques, à un psychologue à l’écoute de phantasmes d’immatures.
Et derrière la fausse joie des bacchantes qui hurlent, les appétits simulés des sirènes nymphomanes, les quolibets surjoués des matraqueuses des médias, pointe la silhouette de Thanatos : la proclamation de la conquête féminine de l’avortement (infanticide quand existent de multiples moyens de contraception), l’exaltation du suicide assisté (assassinat quand seraient possibles des soins palliatifs), l’assouvissement du désir d’enfant d’homosexuels (crime pédophile qui flirte avec l’eugénisme et le mépris de la vie).
Les valeurs de France-Inter sentent la sueur rance et l’odeur de pourri.