Une cérémonie des jeux olympiques qui a mélangé la laideur et l’insulte à la France : comment faire aussi mal avec le cadre grandiose de la Seine au coeur de Paris. Et tout celà pour célébrer le culte abject de la force, de la performance physique, de l’écrasement des derniers par les premiers !
Une autorité européenne qui s’est manifestée avec le triomphe de l’irrationnel : la déplorable Christine Lagarde qui naguère avait tardé à comprendre la brusque flambée de l’inflation, cette année n’a pas saisi que le problème était de baisser au plus vite et significativement les taux d’intérêt; la catastrophique Ursula von der Leyen qui lutte en sourdine contre l’énergie nucléaire, et tente d’ abandonner l’agriculture aux grands vents de la concurrence.
Le président Macron et ses affidés qui ne comprennent rien à l’économie et s’accrochent à leur politique de dépenses à tous prix avec une fonction publique qui gonfle comme une baudruche, et des retraités qui pèsent trop lourd dans les transferts sociaux.
Heureusement qu’existent des musiciens qui ne sont pas des rappeurs ou des rock stars, des peintres et sculpteurs qui ne pratiquent pas à la performance, des cinéastes qui ne sont ni trash, ni gore, ni woke, des écrivains qui utilisent les bons mots sonores et trébuchants pour s’occuper ni de leur nombril, ni de leurs pratiques sadomasochistes.
Heureusement que survivent des gens qui croient à la transcendance, qui sont humbles vis-à-vis de la création, qui ne cherchent pas à tous prix leur félicité individuelle.
Heureusement que certains croient que le travail peut-être nécessaire et noble, la beauté indispensable et pérenne, la bonté ni niaise ni réduite à la charité, la vérité plus vaste que les témoignages.
Finalement 2025, malgré les crimes et châtiments constatés de 2024, se présente sous les meilleurs auspices.