9 octobre 2013
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Peu nombreux dans la foule des saltimbanques et des cabots qui règnent sur les scènes, les écrans.
A peine reconnus sous le règne des mercantis qui envahissent galeries, foires et autres musées d'art contemporain.
Tout juste audibles dans le fracas de bruits proclamés musique.
Edités avec regrets au milieu de tas de bouquins d'introspection, de voyages autour de son nombril, et autres ouvrages d'autocomplaisance.
Dans les chroniques pipole des journaux glacés, dans les biopics tournés à la hâte, dans les mémoires écrits par des nègres, sur leurs sites alimentés par leur impresario, s'étale l'impudeur de demi artistes à la frange du demi-monde.