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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 13:19

MST (le beau surnom de Marie Sol Touraine en Médecine) incite à la débauche. Rembourser les contraceptifs à des jeunes filles entre 15 et 18 ans, rime à quoi sinon essayer de faciliter les relations sexuelles entre collégiens ou lycéens. Circonstance aggravante, les parents pourront rester dans l'ignorance de la dépravation naissante de leur progéniture.

L'excuse, la raison (si tant est que l'on puisse utiliser ces mots) brandies est l'amélioration de la santé publique : celà éviterait que ces Lolita aillent avorter. Pour empêcher un drame, MST, sous l'influence du programme présidentiel, préfère abolir la morale la plus élémentaire qui est de ne pas se montrer volage, oublier le principe d'éducation indispensable de ne pas élever le vagabondage sexuel au rang de comportement non seulement admissible mais encouragé par la société qui paie pour que des pétasse  à peine nubiles s'envoient des adolescents. Dans ce désastre éducationnel, l'autorité des parents, dont on se plaint à tire-larigot qu'elle parte à vau-l'eau, n'est plus bafouée, mais niée.

Mais pourquoi, MST impose une dépense pareille : elle n'est pas dans l'intérêt de jeunes filles que l'on préférerait, à tout prendre, voir mères que putes; elle n'est pas dans l'intérêt de parents dont on ne comprend pas très bien quelles règles ils peuvent encore essayer de transmettre. Ce n'est que le reflet, une fois de plus, de la double influence d'un principe libertaire propagé par les féministes, de la liberté du corps et du principe hédoniste du plaisir, tout de suite, pour tous. Une mesure reflet de la médiocrité, qui méprise le libre arbitre  au profit d'une socialisation d'un bonheur éphémère : jouissez, la société vous protégera contre les conséquences que vous jugez néfastes que celà peut engendrer.

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