Il présente le journal du dimanche soir 27 janvier 2013.
Il parle de François Hollande qui se sépare de Valérie Trierweiler. Il n’est pas capable de citer les mots du président « Je me sépare de … ». La goujaterie, la muflerie, du président ne l’interpelle pas. La répudiation de Valérie ne lui paraît pas être une circonstance consternante qui caractérise ce président. Il sourit niaisement comme à son habitude. L’insulte faite aux femmes ne lui apparaît pas.
Il parle d’une manifestation à Paris pour ne citer que les incidents entre certains manifestants et la police. Le but de la manifestation reste inconnu aux chers téléspectateurs, l’amplitude de la manifestation (entre 17 000 suivant Valls et 120 000 suivant les organisateurs) n’est pas signalée. Le gomineux blondasse ne veut pas choquer la France profonde avec des cris contre la Hollandie.
Qui est cette marionnette ? Elle dit s’appeler Laurent Delahousse ; les mots coulent de sa bouche, avec le seul objectif de ne pas faire de la peine à ceux qui nous gouvernent, à ne pas ébranler ceux qui l’écoutent encore, à fortifier l’emprise de ceux qui nous manipulent.
Fatigant d’entendre ce fantoche, sur une chaîne dite nationale, subventionnée grassement par les contribuables, contrôlée par des présidents à la botte de hautes autorités elles-mêmes jouets du pouvoir. Exaspérant que ce guignol nous assomme avec ses inondations dans les zones inondables, ses coups de vents sur zones venteuses, ses reportages à la gloire de services qui se moquent de tous les publics, ses extases devant des sportifs dont on aura oublié le nom deux secondes après et qu’il passe sous silence toute information un peu politique.
S’il est beau, présentant bien, parlant bien qu’il aille faire de la publicité, de l’évènementiel, du mannequinat, mais par pitié qu’il quitte l’information.