Isabelle Giordano et sa troupe de pécores, ne nous font pas l’honneur de rediffuser l’émission « les affranchies » à laquelle elle a invité Alain Finkelkraut (toutes mes tentatives sur le site de France-Inter sont restées infructueuses). Honte, remords ? Degré zéro des questions auxquelles tente de répondre le philosophe qui reste coi parfois devant tant d’inanité.
L’une d’entre elles (on ne sait laquelle, tant leurs voix se confondent dans la morne uniformité de leurs opinions) se réjouit de ne l’avoir guère lu, l’autre se gausse de son hymne à l’amour, une autre encore (ou peut-être la même) peut-être s’extasie sur sa chevelure. Miettes que j'ai ramassées lors d'une unique écoute, en voiture, au mileu de la circulation.
Fausse pétulance qui cache la sinistrose du contenu des interrogations. Interruptions incessantes de l’interlocuteur pour faire croire que l’émission a un rythme endiablé, alors qu’elles ne manifestent qu’un désintérêt profond pour les réponses esquissées. Impertinence affectée dans le ton et le discours qui révèle seulement leur adhésion farouche à une vague idéologie libertaire, féministe, progressiste.
Avec toutes ces cartes aussi misérables, pourquoi Isabelle Giordano continue-t-elle donc d’infliger ce pensum à des auditeurs ? Il n’existe personne d’autre dans cette maison de Radio-France pour reprendre le flambeau d’une émission drôle et respectueuse, impertinente et animée ? Les affranchies sont franchement des chieuses.