Après la vulgarité de la Marche des Fiertés, celle du Tour de France. Au consumérisme du sexe succède celui dispensé par la Caravane du Tour. Je préfère encore le second, plus populaire et pas dépravé.
Après la vulgarité de la Marche des Fiertés, celle du Tour de France. Au consumérisme du sexe succède celui dispensé par la Caravane du Tour. Je préfère encore le second, plus populaire et pas dépravé.
Le président Macron se porte maintenant garant des valeurs, de ses valeurs et il ne mégote pas dans la grandiloquence :
« C’est un recul terrible. C’est une bataille culturelle, civilisationnelle que nous devons mener. Nous n’y céderons rien, a-t-il affirmé. Il y a une montée de l’illibéralisme dans les sociétés post-communistes ». La promotion de l’homosexualité auprès des moins de dix-huit ans, et la promotion seulement, ni l’ostracisme, ni la stigmatisation, devient une cause civilisationnelle. Oui, le même président qui a laissé enfermer sans quasiment de visites, pendant plus d’un an, dans des hospices, des vieillards au prétexte de leur sauver la vie ; le même qui croit qu’il est légitime d’ appliquer des quotas au mépris de la reconnaissance du seul mérite, et qui veut en rajouter en introduisant l’idée de trafiquer les concours pour qu’il y ait un quota minimum de boursiers au mépris du travail et des talents ; le même qui promeut la fécondation artificielle de lesbiennes pour satisfaire leur caprice d’enfant, et ne cache guère de tolérer le vol d’enfants au profit d’homosexuels ; le même qui croit qu’une fin de vie doit être digne non plus en soulageant la douleur mais en suggérant que les médecins puissent tuer. Curieux ce tas d’incohérences où le libéralisme défendu par Macron et ses semblables de Bruxelles consiste à tolérer les crimes les plus insoutenables contre l’individu comme infliger la mort ou légaliser le vol d’enfants, à admettre les limitations de la liberté individuelle en introduisant toutes sortes de quotas en arguant de la discrimination positive, à faire subir des peines d’enfermement à des vieillards qui n’ont pas nécessairement perdu la tête. Toutes ces actions ne sont pas illibérales dans sa tête mais facteurs de progrès sociétal. Mais la protection de l’enfance contre la sexualisation à outrance de la société devient outrance conservatrice. Nous revenons aux temps des grandes déclarations des Jack Lang et autres Daniel Cohn-Bendit pour la stimulation de la sexualité à tous les âges.
Ursula von der Leyen invoque des « valeurs européennes », et les médias français des « valeurs républicaines » au rebours de la loi qu’a faite voter Victor Orban condamnant "la pornographie et les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l'identité de genre, le changement de sexe et l'homosexualité ne doivent pas être accessibles aux moins de 18 ans ".
Où est la définition ou la liste de ces valeurs invoquées. Dans la déclaration des droits de l’homme de 1789 et ses diverses répliques du XXème siècle ? On y trouve nulle part que l’éphébophilie soit une doctrine ou une pratique à défendre. On y trouve nulle part que la publicité de la sexologie auprès des enfants et adolescents se surajoute avantageusement aux matières qui fondent notre culture et notre tradition.
Pourquoi ces mines chafouines à l’idée que l’homosexualité ne soit pas considérée comme une doctrine de combat à répandre dans tous les esprits. Pourquoi cette révulsion devant la critique des sexualités les plus hétérodoxes. Tabou de considérer certaines pratiques comme minoritaires ? Blasphème de trouver répugnantes certaines pratiques ? Incroyable tyrannie de ces minorités de vouloir étaler leurs marottes, leurs tendances ou effarante vanité de vouloir montrer que l’on est différent ? Ces opinions se parent des plumes de la lutte contre la discrimination, alors qu’on leur demande seulement d’afficher de la modestie ; elles disent rechercher une égalité physique et psychologique illusoire, impossible, non souhaitable, haïssable même au nom de la diversité. Indigne de parler de valeurs pour de tels combats.
Les électeurs du Rassemblement National ne se sont pas déplacés parce qu’ils sont jeunes. Curieux, ils n’étaient pas jeunes pour les élections précédentes ? Auparavant ils étaient plus mobilisés nous disait-on parce que plus militants, et de plus sous-estimés dans les sondages car avouant moins leur appartenance politique. Ces deux dernières explications ont disparu. Les médias racontent n'importe quoi pour tenter de justifier leurs erreurs d'appréciation.
Les électeurs écologistes continuent de ne représenter pas grand monde sauf dans la circonscription la plus bobo de France, Paris 10ème arrondissement, où le vert arrive en tête avec 26% des suffrages devant un peloton de trois femmes, Pécresse (20%), Pulvar (16%), Autain (16%) ; amusant que la polulation gentrifiée de cette circonscription ait glissé des bulletins pour une majorité de près de 60% de défenseurs de Gaïa et de représentantes de #metoo.
Les ministres ne font pas recette, soit parce que leur nom est parfaitement inconnu pour le citoyen moyen et que leur candidature est un non-évènement, soit dans les cas de Dupont-Moretti et Darmanin qui se vantent d’être des porte-drapeaux de la Macronie parce qu’ils ont été de fait un boulet pour leur liste.
Les candidats de droite et de gauche représentant les partis de « l’ancien monde » ont survécu sans problèmes aux prédictions d’effacement prodiguées par tous les sondeurs et leur relais médiatiques. Il ne suffit pas d’être cire-pompes du président et flagorner à tire-larigot chez France-Inter, le Monde, Mediapart ou Libération pour avoir une influence sur les électeurs.
Ces quelques réflexions convergent pour montrer :
En conclusion, toute élection a une signification (du moins en pays où le vote est libre), et celle-ci est sans bavures :
Le plafond de verre maudit par des femmes, n’empêche malheureusement pas que le principe de Peter ne s’applique à certaines :
Elles en rajoutent dans leur combat haineux contre les mâles blancs pour tenter de camoufler leur incompétence patente : elles se noient dans le ridicule en pérorant toutes les trois contre la testostérone et le virilisme. Tristes mégères trop pitres.
Une petite baffe pour un petit Monsieur. Tarif : quatre mois de prison avec mandat de dépôt. Question suivante : combien pour un coup de pied au cul ? Moins douloureux peut-être, plus signifiant surement.
Le pauvre garçon se noie. Ensablé au Mali. Englué dans une Europe allemande. Emberlificoté dans un OTAN plus américain que jamais. Quoi d’autre après les Beauvau de la Sécurité, les Ségur de la Santé, les Grenelle de l’Education, la Convention pour le Climat, le Grand Débat National, et j’oublie certainement d’autre congrès, forums, colloques, commissions, tous aboutissant à quelques petites crottes immédiatement qualifiées de progrès par quelques zélateurs aveuglés. Le procrastinateur s’abîme dans les prises de pouls, les prises de conscience, les coups de menton, les coups bas, oubliant l’essentiel au profit de l’accessoire, de la manœuvre, du ronflant, du pittoresque. Aux abois, il ressort ses vieilleries de vieux jeune, et des états généraux de la Justice, et une réforme des retraites dont personne ne sait rien.
Le masque tombe. La face égarée de l’incompétent aux prises avec une réalité trop complexe pour lui apparaît aux yeux de tous.
Hybride : véhicule servant à transporter de lourdes batteries d’un point à l’autre.
Voiture électrique allemande : automobiles conçues pour rouler au lignite à plus de 200 km/h.
Eolienne : moulin à vent hachant les petits oiseaux dans un bruit d’enfer.
Panneau photovoltaïque : étouffe terrain qui empêche les rayons du soleil de nourrir le sol.
Parmi les grandes causes de notre époque, celle qui me sidère le plus est la défense des animaux. Mais pas de tous, de certains. Autant il serait légitime de protéger l’ours ou le loup, autant chevreaux, agneaux ou veaux passent à la trappe ; les uns parce qu’ils représentent la force, la ruse, la cruauté, et les autres la faiblesse, l’apathie, la peur ? La Fontaine et sa fable est bien loin. S’occuper des mammifères a de toute façon priorité sur les insectes et arachnidés : vous imaginez la réintroduction des scorpions en Provence, la verbalisation pour avoir écrasé une mygale ?
Cette cause animale pue l’anthropocentrisme : plus nous cousinons dans l’arbre du vivant, plus nous nous sentirions obligés de nous en soucier.
Elle a des relents de stigmatisation de tout ce que nous considérons comme laid, comme faible, comme venimeux : une caricature d’un eugénisme affligeant.
Elle veut nous faire avaler que nous ne sommes pas des prédateurs : transformer l’homme en herbivore est la déconstruction de l’histoire la plus énorme que l’on ait inventé.
Mesure de capacité pour interdire spectacles et restaurants à tous ceux qui menacent madame Michu dans sa précieuse santé.