On essaie de nous construire une parcelle d'identité nationale autour du football, du maillot bleu, de la fraternité du black-blanc-beur, de la marseillaise chantée dans les stades. A l'arrivée nos héros sont Zidane (le type au coup de boule), Thierry Henry (le tricheur qui veut rejouer le match une fois qu'il est sur que c'est trop tard), notre expresssion les défilés de la victoire sous le drapeau algérien pour célébrer la victtoire de l'Algérie sur l'Egypte et notre combat la défense des niches fiscales pour des joueurs soucieux de commercialiser leur image avec un maximum de profit.
Non vraiment cette idendité là bâtie sur des valeurs de compromis, de "realpolitik" au mieux m'indiffère; au pire elle m'exaspère lorsqu'elle est défendue explicitement ou implicitement par quasi tous les hommes politiques. On ne bâtit par la fierté nationale sur l'abscence de contrôle de soi, la triche, les exploits d'étrangers et surtout les profits de stars surpayées.