A quoi bon être ambitieux , si l’on n’a pas de talent. Les Chirac et autre Hollande ont porté à leur paroxysme ce mélange singulier d’une immense soif de pouvoir, conjuguée à une désespérante absence d’un don quelconque pour gouverner ; ardents, imaginatifs, retors, méchants, astucieux, hâbleurs, infatigables (voire increvables), rusés, cyniques, pour s’emparer de la place suprême ; indolents, procrastinateurs, velléitaires, opportunistes dès qu’il s’agit de gouverner. Ils n’ont pas la fibre d’un homme d’état quoiqu’ils aient essayé de nous faire croire. Alors faute de nerfs ou de muscles qui leur soient propres ils s’appuient sur des béquilles : réseaux de rad-socs, ou de franc-macs, népotisme, copinage, obligés, benêts en dévotion confite, arrivistes en fausse adoration, subterfuges qui ne trompent que les ahuris et les abrutis.