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18 avril 2025 5 18 /04 /avril /2025 17:32

Je ne connaissais pas Cécile Helle, maire socialiste d’Avignon, dont la charge lui a été léguée par Elisabeth Guigou.

Je l’épingle quand interrogée sur France-Inter, elle se révolte contre la baisse des subventions aux spectacles. La pimbêche ose dire « on va produire moins de culture ». Que de poésie ! Quel souci de la bonne utilisation des deniers publics ! Quel respect du public appelé à ingurgiter les rogatons montrés sur des scènes publiques ! Produire ... pourquoi pas fabriquer pour des crétins ou confectionner pour des zombies ou préparer pour des incultes ?

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17 avril 2025 4 17 /04 /avril /2025 17:31

Il est urgent de remplacer dans notre sainte trinité républicaine, fraternité avec ses relents machistes; des vedettes des médias proposent adelphie qui ne souffre pas du caractère panféministe de sororité. Trissotin, tu es encore là, qui vient d’en accoucher !

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11 avril 2025 5 11 /04 /avril /2025 17:18

Maladie contagieuse que l’on risque d’attraper en écoutant les humoristes femelles nous expliquant leurs partouzes, les sociologueuses qui labourent avec une bonne volonté attendrissante les champs du féminisme délateur, du post colonialisme repentant, et les climato-illogistes nous expliquant la fin du monde programmée par des irresponsables sans neurones. Toutes ces espèces sont hébergées avec un grand souci de leur préservation au sein de la radio de service public, France-Inter, lazaret de toutes les malades de la bonne conscience.

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5 avril 2025 6 05 /04 /avril /2025 14:51

"Cette dystopie introduit un changement de paradigme avec mise en abyme."

Compréhensible pour le cher auditeur ?  En tous cas des mots suaves pour le locuteur.

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8 février 2025 6 08 /02 /février /2025 16:28

Mon aversion est telle envers France-Inter que je ne supporte plus le ton mielleux avec lequel est prononcé le nom de la station par son grand vicaire Demorand et la foule des succubes  : France Intaire. L’accent est mis sur la finale pour trainasser dessus avec emphase et le bec largement ouvert. Une sorte de péan en l’honneur d’une déesse des facts checkings, d’une idole des gentils qui foulent aux pieds les serpents de la fachosphère, d’un prophète grasseyant son feel good sentimentalisme de pacotille. La tonalité patates chaudes dans un jeu de cadavre exquis entre snobinards du sévice public. Le trémolo des très médiocres de la non-intelligentsia des sinks tanks. Les gargouillis hilares de ceux qui méprisent les autres médias, les autres messagers, les autres messies.

J’imagine le changement ton de ces journalistes de France-Intaire quand ils prendront connaissance de la réquisition pour la mise en vente, à la bougie, de leur sainte station !

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20 janvier 2025 1 20 /01 /janvier /2025 10:44

Expression de pécores de France-Inter utilisée

  • dans leur recherche d’un désir qu’elles croient assouvir sans se préoccuper d’un autre;
  • dans leur manifestation de haine libérée de scrupules envers tous ceux qui sont leurs ennemis;
  • dans leur proclamation de tous les blasphèmes tant qu’ils ne concernent pas leurs mantras, leurs totems, que sont le genre, le racisme.

Vulgarité au lieu de liberté, méchanceté pour remplacer la fraternité et étroitesse d’esprit qui se substitue à l’égalité : le royaume de la fausseté.

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12 janvier 2025 7 12 /01 /janvier /2025 11:45

La loi sur l’I.V.G. aurait du être baptisée loi Giscard ou loi Chirac : ils en furent les inspirateurs, Simone Veil n’en fut que la porte-parole. En ce jour d’anniversaire du vote de la loi, France-Inter aurait pu le mentionner, mais foin d’honnêteté elle a préféré, ce matin, transformer un texte destiné par les véritables commanditaires à trouver une solution à un problème social en un étape dans un « combat » pour la liberté des femmes, un épisode dans une lutte pour la conquête d’un prétendu droit. Des pleurnicheuses, des exaltées, ont entonné avec les journalistes un péan pour exalter cette victoire. Dans leur méthode, peu glorieuse, de choix des opinions ils ont oublié les réticences d’une grande majorité des soignants, l’opposition de toutes les adeptes d’une religion. Ils ont travesti la loi initiale qui était équilibrée et soucieuse uniquement d’apporter une réponse à des malheureuses en une croisade contre l’obscurantisme. 

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24 novembre 2024 7 24 /11 /novembre /2024 18:49

Les mémés et pépés du « Masque et la plume » qui jargonnent en anglais : je ne veux pas spoiler la fin du film, un bad movie, un scénario feel good, un casting du tonnerre. Une langue de red necks … pour des auditeurs cocoonés au wookisme.

Les sectaires de la biodiversité qui hurlent en choeur avec les loups avec qui il est un devoir de vivre en harmonie. Quid des agneaux et des veaux … qu’ils relisent la fable de La Fontaine « Le loup et l’agneau ».

Les palestinien(nes) et les ukrainien(nes) qui du fond de leur fauteuil sur le plateau réclament une poursuite de la guerre de libération et l’arrestation des dirigeants russes et israéliens mis en examen par un tribunal international. Nostalgie des Amazones et des Matamores ?

Les femmes savantes de la météo/climatologie qui nous expliquent que la sécheresse favorise l’évaporation et provoque plus de pluie. Adieu la rationalité !

Les haineuses du mâle blanc qui jouissent du procès d’un bordel de campagne à Mazan. Le plaisir a changé de genre.

Les précieuses qui abrutissent leur langue parlée de féminisations de tous les termes. Elles en loupent certaines comme en parlant des loups oubliant de mentionner les louves, en citant les soldats omettant les soldates, en stigmatisant les criminels laissant tomber les assassines. La stigmatisation est partielle et partiale.

Les tricoteuses qui épinglent poutinistes présumés, trumpistes supposés, droite duristes avérés, catho-fachos évidents, nous balancent avec componction leurs enthousiasmes pour les minorités de tous poils, leurs compassions hypocrites pour les maudits de la terre, leurs amours pour les déviants, les transgressifs, les gens à la mode quoi. Communautarisme, panurgisme et snobisme est leur slogan.

Dans le bocal de la radio d’état, les poissonnes rouges tournent en rond.

Dans la seringue du service public, les empoisonneuses fourguent leur propagande.

Dans les ventres de France-Inter et autres ondes étatiques les Nicolas, Léa, Sonia, les Karine, Patrick, Charline, les Pascale, Fabienne, Mathieu, font naître des faits dubitables, font croître des opinions impopulaires, font avorter les vérités qui leur déplaisent.

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10 novembre 2024 7 10 /11 /novembre /2024 12:38

Pas celui du CO2 dont beaucoup se soucient trop. Celui de France Inter et Antenne 2 qui polluent les ondes de leur verbiage : propos pornographiques des LGBTQ+ relayés par les défenseurs du cul et de toutes les pratiques qui tournent autour, louanges entonnées sur les minorités racistes qui ne mériteraient rien d’autre qu’un silence attristé, vociférations des féministes qui crachent sur tout mâle qui passe à leur portée, discrètes allusions narcissiques aux preneurs de drogues héros de la contre-culture, odes aux tueurs de toutes sortes (des enfants à naître, des vieillards coûteux, des gens indignes).

Donner la priorité à l’extinction de ces ondes funestes devrait être un devoir du citoyen et un mantra du police qui le représente.

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4 novembre 2024 1 04 /11 /novembre /2024 16:42

Fabrice Drouelle est un de ces conformistes qui encombrent France-Inter. Cet après-midi il présente pendant une heure Michel Onfray, de connivence avec un sociologue d’extrême-gauche Philippe Gourcuff : attaque en règle hors de la présence ou de la possibilité de réponse de la victime choisie; il est , entre autres amabilités, d’extrême droite, graphomane, monopolisant les médias, instable dans ses idées, grand artiste du buzz médiatique, complotiste. 

Méthodes malhonnêtes utilisées par ce Fabrice Drouelle, pour une fois sans faire semblant de se draper dans une quelconque objectivité. Les prochaines fois il nous fera des portraits aussi flatteurs et nuancés de Régis Debray,  d’Alain Finkielkraut, de Julien Dray ou d’Elisabeth Badinter ?

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