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1 novembre 2025 6 01 /11 /novembre /2025 16:33

L’Assemblée Nationale nous laisse pantois. Des squelettes de textes sont proposés avec des conséquences ni évaluées, ni même envisagées : ils devraient être, pourtant, le socle d’une loi de finances; la seule motivation qui les fasse proposer semble être un populisme exacerbé accompagné d’un mépris des prétendus collègues; leur vote est au service de calculs tordus pour maquiller l’apparence de son parti cadavérique et tendre des pièges aux autres, prétendus alliés ou adversaires affichés. Dans une ambiance de volière ou s'affrontent queues de cheval et calvities, jeunots et vieillots, mémés et pépères,  tous les schémas sont possibles volontaires ou non avec des merveilles comme des votes communs du RN avec les socialistes ou LFI : ce n’est plus la culture du compromis mais celle du hasard et de l’imbécilité.

Ce spectacle désastreux, pitoyable, ne laisse que deux possibilités :

  • Ou les députés sont des crétins, des cyniques, des ignorants qui n’ont été choisis par les électeurs que pour cause de manque de candidats de qualité;
  • Ou les électeurs sont des crétins abusables ou des trompe-la-mort qui font semblant de croire les promesses démagogiques qui leur sont servies.

Difficile, dans les deux hypothèses de faire confiance à l'idée de démocratie.

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24 octobre 2025 5 24 /10 /octobre /2025 12:48

Les délinquants fiscaux s’activent à l’Assemblée. LFIstes, en plein rezzou, qui rêvent de pillages au profit des gens des cités. Sociaux-Démocrates (d’ailleurs ni l’un, ni l’autre) qui se prennent pour des protecteurs des paresseux qui n’ont pas voulu travailler, des prodigues qui n’ont pas voulu épargner, des grigous qui n’ont pas voulu cotiser à la belle saison.  Ecologistes qui n’osent pas faire payer les géniteurs d’enfants pollueurs, les industriels constructeurs d’usines qui toutes salissent, les agriculteurs qui prétendent nourrir les peuples du monde entier, les consommateurs qui oublient l’ascétisme. Et tous les autres députés qui protègent les malades hypocondriaques trop nombreux, les inactifs trop exigeants, les fonctionnaires trop entichés de leurs normes, les oubliés de l’assistanat qui le méritent pourtant, les sans mérites, les sans courage, les sans vergogne, les haut-parleurs, les bas du front, les humoristes de France-Inter, les professeurs de sociologie émérites.

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6 octobre 2025 1 06 /10 /octobre /2025 14:41

« Nous » ne sommes pas au bord du gouffre. Une classe politique dénaturée a failli, qu’elle s’en aille. Elle ne propose qu’emplois aidés (explosion de la fonctionnarisation), alourdissement de l’assistanat (explosion du nombre de retraités et de sous-emplois aidés), mépris des modestes, de leur vie dite étroite, de leurs coutumes considérées comme désuètes, au profit du vulgaire et du communautarisme. Elle n’a pas de projet sinon de continuer de s’embourber dans une Europe germanisée, impuissante face au grand large; elle n’a pas d’autre idée économique que de mentir sur les prix en les bloquant ou en favorisant des centrales d’achat, que de peser sur les salaires en favorisant une immigration peu alphabétisée et que d’emprunter au détriment des générations à venir;  elle oublie de traiter la richesse du futur : quelle énergie abondante, pas trop chère pour faire fonctionner les usines de demain qui en seront gourmandes; quelle recherche recentrée sur le scientifique (le vrai pas le miroir aux alouettes de toutes les sciences molles, bavardes, trompeuses); quelle restauration de l’autorité des enseignants face aux élèves, des parents devant leurs enfants, des forces de l’ordre confrontées au monde de la drogue et du vol, et plus généralement de ceux qui savent un peu devant des ignares qui réponde Wikipédia.

« Ils » sont au bord du gouffre : qu’ils fassent enfin un pas en avant ou bien qu’on les y pousse. Nous n’avons pas besoin d’eux pour ne plus préparer ces lois absurdes (ces lois de mort et de blessure que sont celles dites sociétales), ne plus voter ces budgets mensongers (l’effort est une augmentation des dépenses moins importante que ce qu’elle aurait pu être !)(les déficits gigantesques sont signalés en pourcentages d’un PIB qui inclut l’économie des gangsters), ne plus célébrer cette absence du goût de l’action.

 

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9 juillet 2025 3 09 /07 /juillet /2025 18:00

Pires que l’astrologie, on trouve dans les sciences molles l’économie et la climatologie. La première, ramenée à quelques exploitation de thèmes trafiqués à l’usage de naïfs, avait au moins le charme de partir d’une contemplation de la voute céleste. Les deux autres croient en imposer en manipulant d’arides (et parfois obscures) statistiques et en corrélant à tour de bras des séries qu’elles en tirent. L’économie, avec une constance admirable, est intéressante dans l’explication du passé et aveugle dans la prévision du futur (il n’y a pas d’ailleurs de milliardaires économistes). La climatologie nous présente un indéniable réchauffement climatique qui date d’un peu plus d’un siècle et qui a succédé à une longue période plus ou moins froide depuis l’optimum climatique qui a duré jusqu’au début du XIVème siècle; le problème est d’avoir voulu corréler ce réchauffement à une production de CO2 liée à l’activité humaine : la corrélation n’est mathématiquement pas satisfaisante; elle est peut-être vraie, elle est peut-être fausse; ce qui reste affligeant est la tentative d’imposer la vérité du GIEC par la force des convictions, des anathèmes, voire des insultes (délit de climato-scepticisme, crime de négationisme climatique, déni de l’évidence).

La climatologie me rend écophobe … et les prévisions économiques me laissent sceptiques. Le futur reste indiscernable et illisible même dans les étoiles.

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8 juin 2025 7 08 /06 /juin /2025 14:42

Les progressistes de tout poil, gauchistes ou centristes voire certains droitistes se complaisent depuis des années de frapper les pauvres au porte-monnaie.

Les mêmes qui proclament la TVA comme impôt injuste trouvent parfaitement équitables les impôts sur les carburants : au lieu des taux de 5% à 20% sur la consommation, ils se satisfont d’un taux de plus de 100%; l’écologie a bon dos, à moins de prétendre que les pauvres roulent beaucoup moins que les riches. (Voire n’ont pas de moyens de locomotion) et contribuent proportionnellement beaucoup moins.

Les forcenés du manque de mansuétude envers les économiquement faibles ont cru bon d’alourdir le coût de possession des voitures ou motocycles en imposant des contrôles techniques qui dépassent de loin la simple vérification de la sureté de base des véhicules (freins, pneus, direction). Qu’importe cette taxe au profit d’intermédiaires, les vrais pauvres n’ont pas de voiture comme le proclamait Madame Panier-Rumacher,. ministre de l’écologie punitive.

Il faut protéger les poumons des boboïdes des centres villes hurle la dénommée Tondelier et avec ses complices, maires de grandes villes, et donc y interdire les vieilles voitures proclamées hors normes. Les pauvres des banlieues n’ont qu’à racheter les véhicules électriques hors de prix; une caricature de la prétendue proclamation : « ils n’ont plus de pain, qu’ils achètent de la brioche ».

Pour ceux qui sans être pauvres, ne sont pas vraiment des riches et ont réussi à acheter un logement, une trouvaille va les punir : leur maison ou leur appartement, par le jeu de normes d’une complexité et d’une approximation rares vont être classées non louables. C’est la création oxymorique de la taxe sur les petits patrimoines.

La méchanceté portée à ce point fait froid dans le dos, vous laisse bouche bée, vous tient coi. Mais comme la méchanceté n’est qu’une manifestation de la bêtise, l’ex premier ministre Elisabeth Borne appelle à ne pas relâcher l’effort en matière d’écologie : et viva les taxes exorbitantes, les contrôles inutiles, les exclusions des centre villes, les interdictions de louer; et « vae victis » pour ces sans le sous blagués par Macron, ces sans-dents moqués par Hollande, ces types qui fument de sclopes et roulent au diésel  comme les définissait Griveaux.

 

 

 

 

 

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18 avril 2025 5 18 /04 /avril /2025 17:37

L’agrément de proposer une économie de dépenses est triple : apporter une contribution à la diète urgente d’un état obèse, supprimer un foyer de coûts nocifs pour l’intérêt général, contempler l’affolement des frelons quand on a détruit leur nid.

  • la première est de supprimer le milliard d’euros versé aux intermittents du spectacle; qu’ils deviennent des absents des scènes et ne nous abreuvent plus de leurs indigences culturelles;
  • La deuxième est de vendre sur appel d’offre tous les médias de sévices publics sauf en gardant peut-être, par faiblesse, Arte (on devrait bien en tirer un peu plus qu’un euro symbolique); l’économie annuelle est d’au moins deux milliards d’euros par an; le plaisir incommensurable est de voir tous ces  journalistes rentiers progressistes se ruer vers leurs nouveaux patrons en lui demandant quelle est leur nouvelle ligne éditoriale.
  • La troisième est de faire fondre tous ces organismes imaginés par les khmers verts : dont l’ADEME qui accumule les projets les plus ineptes depuis des dizaines d’années (pas grand chose à sauver), dont l’Office français de la biodiversité qui se vautre dans son rôle de petit chef qui applique sans intelligence les normes les plus étranges; bien entendu certains regretteront les subventions de l’un et les passe-droits de l’autre, mais quel soulagement pour des agriculteurs et des entreprises qui ne sont pas en odeur de sainteté !
  • Le quatrième est de cesser d’indexer les retraités et de prêter attention aux pleurs et lamentations de tous ceux qui veulent gagner plus en faisant travailler plus les actifs; le cynisme a des limites qu’il importe de fixer.
  • Le cinquième est d’arrêter tout remboursement de bobologie, de petits soins de confort, de prévention de maladies imaginaires, d’abus de consultations; le peuple des hypocondriaques viendra nous chanter pouilles sur la nécessité d’une politique de santé, sur toutes les économies que l’on pourrait faire en soignant de plus en plus de gens; nous pourrions, enfin, leur faire comprendre que leurs imaginations, leurs frayeurs, ne sont pas du ressort du régalien.

Je me suis contenté d’une chasse aux nids les plus dangereux. Rien n’empêche d’élargir à des moins nocifs mais tout aussi couteux. L’état étant le vol, la suppression de bien de ses services pourrait aller beaucoup plus loin.

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26 janvier 2025 7 26 /01 /janvier /2025 17:55

Elle s’appelle Lagarde qui tente d’amadouer, dans son anglais d’avocat, le testéroné de la maison blanche, en lui assurant qu’on lui achètera des armes et du gaz liquéfié autant qu’il veut pourvu qu’il ne taxe pas nos produits européens.

Elle s’appelle Ursula von der Leyen qui dans son idiome plus saxon qu’anglo, assure le rustre de Washington, que toute négociation est envisageable pourvu que l’on sauve les mercantilistes allemands.

Il s’appelle Séjourné, il bégaie, dans son jargon de commissaire européen, qu’il a bien un numéro de téléphone et que le président des Etats-Unis peut l’appeler quand il veut pour dissiper un quelconque malentendu.

Elle s’appelle Meloni, et proclame qu’elle est dingue du beau roux et que bien entendu rien ne vaut la bonne alliance atlantiste et les avions et bombes de l’OTAN.

Ils sont de Bruxelles, de la Commission ou du Parlement, et ne croient qu’en une seule stratégie : faire le dos rond, se tapir dans les couloirs de Berlaymont, se camoufler derrière les tombereaux de normes, de rapports, de règlements européens en attendant que le l’excité de Mar-A-Lago secalme ou disparaisse.

 

Ils sont pitoyables. Les pelletées de terre tombent sur leur cercueil et ils croient qu'ils sont à l'abri au fond de leur trou.

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13 janvier 2025 1 13 /01 /janvier /2025 11:06

Dans une période budgétairement difficile, ne serait-il pas légitime de pourchasser les flemmards, les abuseurs, les rentiers pour leur faire un tant soit peu rendre gorge; ignorer leurs jérémiades, leurs menaces, leurs chantages; sans les oublier, de les rendre plus responsables de l’utilisation des fonds publics.

 

Ces retraités qui chouinent parce qu’ils n’ont pas assez cotisé pendant leur période d’activité, ni même pour certains ne pas avoir assez économisé. Qu’attend-on pour ne plus indexer les retraites (en exceptant les plus faibles) pendant une longue période pour faire baisser substantiellement leur poids dans la répartition de la richesse nationale produite ? Soulager les actifs dans leur contribution aux inactifs.

 

Ces malades qui prétendent ne rien payer pour leur précieuse petite santé. Pourquoi n’augmente-t-on pas le ticket modérateur, en particulier substantiellement sur les honoraires payés aux médecins ? Celà mettrait peut-être fin aux abus de ceux qui ne viennent pas aux rendez-vous qu’ils ont pris, et permettrait de porter à cinquante euros la rémunération de la consultation (ils pourraient se payer des assistantes pour gérer leurs tâches administratives); des mesures qui mécaniquement augmenterait l’offre de soins.

 

Ces assistés qui se plaignent qu’ils ne ne reçoivent pas assez pour leur passe culture (qui sert à s’offrir de l’inculture), leur prime Noël (pour offrir des jouets chinois à des enfants qui n’en ont jamais eu besoin), leur allocation de rentrée scolaire (offrande illégitime quand elle est versée à des familles qui ne punissent pas leurs enfants indisciplinés à l’école), leurs allocations familiales (revenu inique quand il est versé à des familles dont les enfants ont subi des sanctions sévères dans leurs écoles); des mesures de responsabilisation des chargés de famille qui inciteraient les chefs de famille à exercer leur autorité vis-à-vis de leurs rejetons.

 

Ces chômeurs qui prétendent recevoir des indemnités toujours plus longtemps sans accepter des propositions d’emplois qui ne seraient pas dignes d’eux.  Existerait-il des emplois indignes ?  Faut-il nier l’adage comme quoi il faut travailler pour manger ?

 

Ces catégories de fonctionnaires qui exigent de gagner plus sans vouloir travailler plus. Quoi de plus évident pour un catégorie particulièrement mal payée, les enseignants, qui non seulement  fait peu d’heures de travail sur l’année , mais s’arrange pour faire des formations pendant leurs de travail effectif, se dévoue pour des activités syndicales aux durées insondables, s’octroie des arrêts de travail qui dépassent les limites admissibles. Au lieu de recruter des professeurs, ne serait-il pas opportun d'augmenter leur traitement de 50% par exemple et de leur demander de travailler 30% de plus ? Celà pourrait au moins rendre le métier plus attractif, rehausser leur prestige.

 

Et le travail d'enquête continue.

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23 octobre 2024 3 23 /10 /octobre /2024 11:36

Trop de fonctionnaires dans l’éducation nationale qui ne voient pas d’enfants dans leur travail quotidien. A ratiboiser.

Trop de malades qui encombrent les urgences, se soignent gratuitement pour des bobos et partent en cure aux frais de contribuable. A mettre à la diète.

Trop de retraités qui se gobergent aux frais des actifs, tout en gémissant qu’ils touchent trois francs six sous,  alors qu’ils ont ou travaillé trop peu ou rien prévu. Finie la grande vie.

Trop de feignasses dans les administrations municipales qui roupillent en rêvant à leur bienfaiteur qui leur a procuré cette sinécure. Rendez gorge.

Trop de complices des racailles qui distribuent la drogue en leur achetant leurs produits de mort. Qu’on les frappe à la caisse.

Trop de fonctionnaires de la santé qui ne voient pas de malades. Les besogneux des Autorités de santé régionales ou nationales, les contrôleurs des abus qui sont eux-même des illégitimes. Allez nous soigner ailleurs.

Trop de bénéficiaires de brigue, de concussion, de péculat, qui reçoivent pour leur vertu d’appartenance à un ordre maçonnique, à un syndicat, comme remerciement de leur servilité ministérielle, un poste de membre du conseil économique social et environnemental, du conseil constitutionnel, de l’administration du Défenseur des droits, et de pelletées de Hautes Autorités plus farces les unes que les autres. Rendez leur liberté de ne rien faire sans rémunération.

Des députés, trop nombreux, mal payés et indignes, des  ministres, trop nombreux, sous-payés et incompétents, des membres de cabinets ministériels, trop nombreux, inexpérimentés et avides de carrière. Prions pour que ceux qui gouvernent soient dignes de la France, de l’Etat, du peuple dont ils sont censés défendre l’intérêt suprême.

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7 août 2024 3 07 /08 /août /2024 10:31

Sans gouvernement, sans majorité à l'Assemblée, il existe un très grand risque qu’une réforme de grande ampleur se mette en place :

  • augmentation des impôts sur le revenu, sur les successions, en omettant de relever les seuils d’imposition;
  • baisse du pouvoir d’achat des retraites en omettant de les indexer.

Pas besoin de vote, pas besoin de décret, pas besoin de ministre, même pas besoin d’administration.  Juste de la politique du chien crevé au fil de l’eau.

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