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30 juillet 2024 2 30 /07 /juillet /2024 11:02

La congrégation des soeurs de France-inter est en pleine epectase depuis la soirée d’ouverture des jeux olympiques. Les intérimaires et autres demi-soldes de l’été en rajoutant encore sur les titulaires pourtant exaltées du féminisme (Foïs, Devillers, Adler, etc …).

Elles sont en pleine adoration de leurs idoles, statues improbables surgies des eaux fangeuses de la Seine, dont les plus révérées :

  • Gisèle Halimi, la porteuse de valise, rouge du sang des algériens tombés sous les bombes des terroristes qu’elle aidait;
  • Olympe de Gouges, sa tête dégoulinante sous le bras, la fille galante guillotinée par les prudes montagnards;
  • Louise Michel, la complice enthousiaste des massacreurs de la Commune, vociférant ses slogans antisémites.

Elles n’en peuvent plus de tenir le bavoir en permanence, n’autorisant la prise de parole que par des comparses dévirilisés, feignant de jouir de résultats de compétitions masculines, mais hurlant de plaisir quand une femme (française, les autres ont droit à l’ignorance) remporte une médaille et leur permet de mettre en évidence tout le gloubi-boulga de l’exaltation du corps féminin sportif, du courage des choix d’un genre en perpétuel combat, de la sainteté de vies résiliantes marquées par les luttes contre l’inégalité.

Quand elles ont terminé leurs oraisons, les soeurs de France-Inter invitent leurs confesseuses, leurs mères spirituelles, à venir les fortifier dans leur foi. Et défilent dans leurs studios une théorie d’anthropologuesses, philosopheuses, sociologuesses, médecines, auditrices, qui débattent sans contradicteurs pour fortifier leurs messages insanes. Quelques hommes dévoués à la « cause » sont introduits pour feindre une diversité trompeuse.

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