Une année, le ramassage des ordures s’espace pour devenir hebdomadaire suite à une rationalisation intercommunale.
Une deuxième, le nettoyage des plages publiques ne se fait plus afin de laisser la biodiversité s’exprimer dans la laisse de mer.
Une troisième, l’éclairage public est éteint à 11 heures pour faire des économies de budget.
Depuis quelque temps déjà, est actée la transformation d’un jardin public en une sorte de place « des fêtes » qui accueille des marchés intitulés bios, et des artistes qui beuglent sur des estrades.
Nos édiles n’arrêtent pas de se triturer les neurones pour baisser la qualité des services. Le touriste aspirerait-il à vivre dans ses déjections, fréquenter des plages sales, ne pas avoir peur du noir, adorer qu’on lui hurle dans les oreilles ?