Draghi autorise l’émission de la fausse monnaie sous les applaudissements extasiés des commentateurs qui se baptisent « keynésiens » ou « socialistes ».
Les grecs veulent reconstituer leur fonction publique pléthorique en les payant en monnaie de singe sous les vivats des médiateux partisans de la relance par la consommation.
Sapin creuse les déficits au prétexte d’union nationale ; de l’art d’accommoder le terrorisme dans un pâté d’alouettes pour mieux cacher l’indigence des réformes.
Macron vend ses révolutions économiques dans un salmigondis invraisemblable de propositions insipides et d’amendements et de sous-amendements improvisés sans concertation par des députés vraiment de gôche.
Mais qui peut se féliciter de cette accumulation de propositions calamiteuses ?