16 mars 2020
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Je les prends en grippe : tous ces médecins qui nous enjoignent d’accomplir notre devoir civique ; ces comités de scientifiques qui entendent régenter nos modes de vie ; ces gouvernants qui baissent le froc devant cette horde de savants ou de sachants.
Ils n’ont pas crié quand il le fallait : fermeture des frontières au tout début de l’épidémie ; mais c’était une idée politiquement incorrecte ; l’argument particulièrement imbécile pour s’opposer à cette décision était que le virus ignorait les frontières, alors que tout le monde sait que ce pauvre virus est un parasite, qu’il est incapable de trottiner sur ses petites jambes, et qu’il lui faut un porteur humain pour passer d’un pays à l’autre.
Ils crient trop fort maintenant qu’il est trop tard. Rien n’est suffisant : l’interdiction d’approcher des autres, le confinement avec surveillance par l’armée, la prohibition de toute pensée négationniste sur la dangerosité de l’épidémie. Rien n’est assez pour le glorieux corps médical : l’écoute de tous leurs avis, la prise en compte de tous leurs conseils, les privilèges pour leurs déplacements, la garde de leurs enfants, etc…
L’indécence s’affiche : le professeur Delfraissy, glorieux défenseur du droit à l’enfant des couples homosexuels et de l’euthanasie des vieillards devient désormais le chantre de la protection des « anciens », et de la mise au vert des bambins contaminateurs. L’autre chef de service d’urgence, ou chef de service de réanimation en profite pour réclamer des moyens : pour quoi faire, grands Dieux, puisqu’il est totalement inefficace devant la maladie. Les chiffres valsent dans la négation de toute arithmétique de base : moi, spécialiste je déclare que la létalité est de 1% ; 1% de qui, de quoi, personne n’en sait rien ; cela n’empêche pas ledit spécialiste d’extrapoler en calculant le nombre de morts envisageable en imaginant 40 ou 50% de la population contaminée ; et voilà comme un tour de main, se répandent les fausses nouvelles, les vraies rumeurs, sur la base de raisonnements biaisés et parfaitement non scientifiques.
Entre la peste des spécialistes et le choléra des suiveurs politiques, nous sommes mal partis.
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politique
social
15 mars 2020
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Le terrorisme que fait régner le personnel de santé devient insupportable. Ils sont incapables de soigner les malades du coronavirus, ils peuvent tout au plus accompagner les quelques sérieusement atteints dans des mouroirs baptisés services de réanimation des hôpitaux. Ils ne disposent d’aucun remède (baptisés molécules pour faire scientifique) et refusent d’envisager le meilleur moyen d’arrêter l’épidémie qui est la répartition rapide de la contamination et l’immunisation collective qui en résulterait. Leur seul argument est qu’il faut protéger l’hôpital ! Mais pour quoi faire ? Ils n’ont pas d’autre fonction que de prodiguer des soins palliatifs avant, soit que le patient trouve en lui-même ses propres défenses, soit de faire passer les cadavres à la morgue.
L’arrogance de ces médicastres entend imposer des priorités qui ne sont pas les miennes : ne plus voir personne, ne plus bouger de chez soi, ne plus prier, ne penser qu’à sa précieuse petite santé. Pour moi un impératif : il est d’urgent qu’ils se taisent.
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politique
social
19 novembre 2019
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11:32
Quelques adultes prématurément vieillis dans leur banlieues sordides sont revenus casser dans les centres villes. Ils sont minables; ils ne demandent pas ce qui serait indispensable à une sortie de leur médiocrité :
- la suppression progressive de la TICPE (taxe sur les carburants qui représente 30 milliards d’euros de recettes pour l’état) qui épargnerait aux condamnés à la voiture de se faire tondre par ceux qui disposent de transports en commun subventionnés; cette taxe spoliatrice pourrait être avantageusement remplacée par une augmentation de la TVA (par exemple de 20 à 22%) qui pénaliserait les importations et relancerait un peu l’inflation;
- La création (massive et par administration ou grande société) de logements de fonction pour ceux qui doivent travailler dans les métropoles mondialisées et la suppression des taxes de mutation sur les ventes de logement; ces opérations faciliteraient la mobilité et pourraient être financées par un rétablissement de la taxe d’habitation supprimée par un gouvernement inconséquent; profit subsidiaire, ceci provoquerait une relance de l’investissement dans la construction et une baisse de la spéculation dans les hyper-centres.
En bref, il ne faut pas augmenter les revenus des gilets jaunes et assimilables; il faut diminuer leurs dépenses qui se révèlent abusivement élevées. La taxation des carburants est une lubie d’un état despotique qui rappelle la gabelle dans son principe de pomper un maximum de taxes sur un élément complètement vital. L’envolée de la spéculation dans les appartements des centres villes est peut-être la rançon du succès mais il serait indispensable que ceux qui rendent un service payé par l’état, les personnels médicaux, les personnels de l’enseignement, les forces de l’ordre et de la sécurité, les personnels de la justice disposent de logements à loyer modéré financés par leurs administration.
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fiscalité
social
16 septembre 2019
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13:46
Camping-car : véhicules polluants qui permettent les migrations de parking en parking de populations aspirant au nomadisme grégaire pendant l’été.
SUV : véhicule polluant qui autorise les germano-pratins et autres habitants de quartiers chics de centre-ville à balancer leurs particules fines dans les campagnes du Lubéron et autres lieux de villégiature.
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3 septembre 2019
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11:37
Elimination de mégères par des hommes à bout de nerfs.
De ce concept qui n’existe pas juridiquement, des viragos de France-Inter tentent de nous faire croire qu’il s’agit d’une calamité française. Au mieux un fait divers.
Elles implorent que soit organisé un Grenelle, lancé un Plan Marshall. Et pourquoi pas un Nuremberg pour que ces salauds d’hommes soient enfin condamnés comme il convient.
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justice
medias
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8 juillet 2019
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Il n’y a pas plus de féminicides que de masculinicides il n’existe que des homicides. Que de violents qui tabassent des femmes jusqu’à les tuer (qui ne connait des histoires d’épouses battues ?) ! Que de mégères qui empoisonnent à mort leur conjoint (plus discrètes, mais elles sont trahies par les teneurs anormales en arsenic des cimetières français) ! L’indignation est normale. Même si les meurtriers sont plus nombreux que les meurtrières il est inutile néanmoins de sonner le hallali contre les seuls mâles (pas nécessairement blancs pour une fois).
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6 décembre 2018
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09:55
L’état doit enfin assurer son rôle premier, assurer l’ordre. L’état n’est toléré que s’il remplit cette obligation. Les citoyens lui délèguent le monopole de la violence à condition de pouvoir être protégés dans leur personne, dans leur bien, dans leur liberté de circuler et de s’exprimer.
La dérive ancienne est qu’il paraissait de plus en plus admissible de ne pas intervenir dans un certain nombre de lieux , les zones de non-droit à l’intérieur de cités, des lycées ou collèges au nom du respect ( ?) de la jeunesse, des établissements d’enseignement supérieur au nom de privilèges ( ?!) ; la conséquence en fut que la police n’entrait plus dans certains quartiers sauf furtivement ; les pompiers et autres autorités se faisaient caillasser ; les élèves et étudiants se croyaient intouchables.
La dérive nouvelle, est que ceux qui habitaient en face de ces zones de non-droit, qui avaient leurs enfants dans des lieux intouchables se sont mis à gamberger avec l’idée qu’ils pourraient aussi « avoir le droit » de faire n’importe quoi, empêcher les gens de circuler, insulter les passants, piller les magasins, taguer les monuments, bruler les signes extérieurs de richesse.
Les gilets jaunes ou la recherche de l’égalité avec les canailles que l’on a laissé trop longtemps prospérer.
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31 mai 2018
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10:07
La convergence des luttes n’est-elle pas surtout la réunion de toutes les paresses : celles des cheminots qui ont la plus basse productivité de toutes les compagnies ferroviaires européennes, celles de fonctionnaires tétanisés (à juste titre) par l’instauration d’une quelconque rémunération au mérite, celles d’étudiants (ou prétendus tels) qui ne croient pas qu’une sélection soit nécessaire pour empêcher les incapables d’encombrer les bancs des universités, celles d’aides-soignantes qui préfèrent consacrer leur temps au pillage en règle des malades plutôt qu’au suivi de leur bien-être, celles des instituteurs qui préfèrent les absences et le militantisme syndical à l’éducation des enfants.
Quoi de plus motivant pour défiler dans la rue que de défendre son droit à l’oisiveté (baptisé défense des droits acquis), son devoir d’exiger de puiser dans les poches des autres (camouflé en politique de réduction des inégalités), et sa bonne conscience aveugle à tous ses échecs (repeinte en expression des valeurs de la République).
Ah les braves gens !
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22 mars 2018
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09:47
Oxymore. Le peuple des bas-fonctionnaires ne peut encore faire moins que ce qu'il fait habituellement. A moins qu'il ne s'agisse d'une grève du zèle.
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7 mars 2018
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11:28
Elles veulent être mises à l’honneur ? Exauçons-les.
- Anne Lauvergeon a conduit avec une détermination farouche la société AREVA à la quasi-faillite ; elle n’a pas oublié dans l’affaire de récompenser les efforts de son époux pour l’aider dans sa furie destructrice ;
- Christine Angot a rabaissé la littérature à des commentaires abscons (mais progressifs, bien entendu) sur sa vie sexuelle et le commentaire médiatique à des injures envers ceux qui lui ont déplu ;
- Anne Hidalgo a tout fait pour Paris : enlaidissement (Place de la République), augmentation des embouteillages (merci à des piétonisations sans concertation), accueil des rats dans tous les squares de la capitale ;
Une caractéristique commune est leur volonté de puissance, leur arrogance vis à vis des autres, leur ton inflexible et tranchant. Elles veulent être au premier rang ? Normal qu’elles se ramassent des coups de pied au cul. C’est la sanction de l’échec. Elles nous la font testéronnées, à ce jeu je préfère des hommes.
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