Mot laid et pompeux. Utilisé par les Trissotins et Pimbêches plutôt que de se poser une question ou évoquer un problème. Aucun doute, les gens en questionnement, sont en manque de simplicité.
Mot laid et pompeux. Utilisé par les Trissotins et Pimbêches plutôt que de se poser une question ou évoquer un problème. Aucun doute, les gens en questionnement, sont en manque de simplicité.
Jeux olympiques : manifestation fascistoïde inventée par le raciste snobinard Pierre de Coubertin. Apologies du corps musculeux, de l’effort au-delà de la raison, du triomphe du fort sur le faible, de la gloire nationale qui firent le pain blanc de toutes les dictatures, en particulier la nazie, et la fasciste. Le comité olympique ne fit qu’amplifier le mythe olympique en poussant à outrance l'exaltation du nationalisme dans le sport, puis après-guerre il promut le modernisme en introduisant dans le mouvement olympique la corruption des dirigeants et le dopage des athlètes.
C’est ce menu trop faisandé qui est proposé aux parisiens. Et il se trouve une maire de notre capitale, et un président de notre pays qui trouvent cette idée séduisante ! On rêve de demander aux habitants de l’Ile de France de financer une telle opération ! De moins en moins de villes se disputent le douteux privilège d’héberger cette mascarade hors de prix. Seuls quelques états en mal de reconnaissance internationale y trouvent le moyen de jouer une carte biseautée.
Vivement que l’on sorte le mouvement olympique de nos rêves. Y avoir rajouté des olympiades femelles (c’était l’expression méprisante dudit Pierre de Coubertin), et maintenant des jeux paralympiques ne fait qu’accumuler de l’ennui à ce qui n’est qu’un spectacle. Quand arrivera-t-on à des Jeux où des forçats dopés se disputeront une vaine gloire sous les drapeaux des grands laboratoires pharmaceutiques de la planète ?
Encore un gouvernement qui ne respecte pas la parité : combien de chauves ? Combien de nains ? Combien de gens de couleur foncée ? Combien de crétins ? Combien de gens avec une orientation sexuelle non majoritaire ?
Le grotesque de cet impératif de caser partout autant de femmes que d’hommes ne le cède qu’à son caractère illégitime. L’introduction dans la constitution en 1999 n’a fait que renforcer l’idée que la constitution est un fourre-tout des dernières idées à la mode jamais consacré par un vote populaire. Contrainte imposée par une bande d’exaltées et qui contrevient au principe de l’article 1 de la déclaration des droits de l’homme « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ». Créer des catégories qui ont plus de droits que d’autres est une insulte à ce principe démocratique, il est de plus une marque de mépris pour ceux qu’il conviendrait d’aider puisqu’ils ne parviennent pas à faire reconnaître leurs talents et leurs mérites.
Cette parité hommes/femmes est humiliante pour les hommes qui sont considérés comme des usurpateurs, et humiliante pour les femmes traitées comme incapables de se défendre sans les béquilles de la loi.
Chez les pédagogues se distinguait le sachant qui partageait avec des apprenants ; foin des maîtres ou professeurs enseignant aux élèves, c’était bon uniquement pour les ânes. Chez les juges sont nés les sapiteurs qui ont une autre gueule que de banals experts : voilà que se lève une nouvelle génération en marche pour nettoyer les couloirs des tribunaux des vieilles birbes qui nous bassinaient de leurs expériences ; arrivent ceux qui connaissent mieux que tous.
La seule véritable leçon de ce premier tour des législatives se lit dans les quelques chiffres qui suivent :
36,1 millions de bulletins exprimés au premier tour des présidentielles (76% des inscrits) ;
31,4 millions de bulletins exprimés au deuxième tour des présidentielles (66% des inscrits) ;
22,7 millions de bulletins exprimés au premier tour des législatives (47,6 % des inscrits) ;
un désintérêt croissant qui atteint des sommets lors du premier tour des législatives.
Entre le premier tour des présidentielles et le premier tour des législatives, on, constate que :
En Marche et le Modem ont bien résisté en ne perdant qu’ 1,4 million de voix par rapport aux 8,7 millions de votes Macron ;
Le FN et l’extrême droite se sont effondrés en perdant 4,6 millions de voix par rapport aux 7,7 millions de votes Le Pen.
Les Insoumis et le PC se sont effondrés en perdant 4 millions de voix par rapport aux 7,1 millions de votes.
Les Républicains se sont effondrés en perdant 3,3 millions de voix par rapport aux 7,2 millions de votes Fillon.
Les seuls curieusement à se maintenir sont les socialistes et les radicaux de gauche qui ne perdent que 0,1 million de voix par rapport aux 2,3 millions de votes pour Hamon. Il faut dire que l’étiage était déjà très bas au premier tour de la présidentielle.
Ce premier tour des législatives est donc une débandade générale. Gros mensonge des médias lorsqu’ils nous parlent à longueur d’antenne du prétendu tsunami de la République en Marche. Au mieux les partisans de Macron ont moins perdu que les autres ; ils peuvent maintenant prétendre avoir rassemblé un français sur six, ce qui n’est pas vraiment glorieux et ne correspond en rien aux affirmations de ceux qui disent que les français ont voulu exprimer leur volonté d’être gouverné au centre. Les français ont inscrit sur leur bulletin leur soutien mesuré, ou mieux leur indifférence polie envers Macron et ses candidats ; ils ont par contre marqué leur désintérêt envers ceux qui croyaient les incarner :
Les Républicains, qui ont sans raisons claires abandonné leur programme, qui ont sacré comme champion un ancien chiraquien-sarkozyste-filloniste qui de toute évidence n’avait pas la carrure, qui ont laissé leurs candidats ou leurs dirigeants se répandre en compliments envers leur adversaire (cf. NKM, Thierry Solère, Juppé, Raffarin, Estrosi) ; ces gens-là ont trahi leurs électeurs qui n’ont pas vu de raisons de les sauver du désastre qu’ils organisaient.
Les Insoumis qui se sont disputés avec les communistes pour savoir qui allait ramasser le plus de l’héritage à l’encan des socialistes ; ces gens-là ont déçu leurs électeurs qui attendaient Godot et n’ont vu arriver personne sinon des egos se querellant.
Le FN empêtré dans sa dérive gauchiste a fatigué des électeurs qui ne se reconnaissaient plus dans une dirigeante qui ne sait pas diriger.
Enfin les socialistes déjà exécutés au premier tour de la présidentielle ont continué d’agoniser en se fractionnant un peu plus entre les pro-mélanchon, les macroniens, les post-hollandais et les frondeurs ; les électeurs les ont laissé régler entre eux leurs différents.
Une demande de renouveau s’est exprimée. Il n’est pas sûr que Macron l’incarne déjà en ayant rassemblé un français sur six. A d’autres partis d’exprimer ce qui n’est pas clairement dans le programme d’ En Marche: les priorités de la protection sociale, de l’identité française, de la liberté d’opinion, de la France décentralisée, de l’autonomie vis-à-vis des Etats-Unis, de la reconquête de la parité avec l’Allemagne.
Constructifs : Traitres qui croassent sur les ruines de leurs partis et qui pour mieux habiller leur manque de parole tentent de faire croire qu’ils sont des bâtisseurs et non des destructeurs. Ils font penser aux membres du Marais, du temps de la Révolution Française, ou pour être plus exact aux "crapauds du Marais », pour reprendre le terme dont les affublaient leurs adversaires ; ils coassaient en faveur des plus puissants de peur de perdre jadis leur tête. Aujourd’hui, les constructifs rêvent surtout de sauver leur masure électorale. Ils croissent et se multiplient comme les sauterelles, comme les rats, allant tous vers les supposées bonnes récoltes, et les meilleurs rogatons : leur appétit pour les places en serait ridicule s’ils n’étaient aussi cyniques.
Coupable mansuétude envers une presse qui veut être un pouvoir (le cinquième) en faisant et défaisant les carrières politiques tout en s’abritant derrière une absence de transparence totale (avec le pompon absolu du secret sur les sources). Intrusion d’une prétendue moralité, qui heureusement n’est pas inscrite sur des tables de la Loi, qui serait devenue l’alpha et l’oméga du citoyen ordinaire.
Mais les réactions à des micro-trottoirs ne sont pas l’expression d’une quelconque démocratie : la prétendue dictature imposée par madame Michu qui veut des hommes politiques passés à l’essoreuse ne relève que de la manipulation. Aujourd’hui comme au temps de César, les qualités demandées aux hommes à qui nous déléguons le pouvoir ne sont ni leur absence de désir de s’enrichir, ni leur atonie sexuelle, ni leur passion pour les fleurs et les petits oiseaux, ni leur fidélité à je ne sais quelle idéologie, mais leurs aptitudes à raisonner, à défendre leurs raisonnements, à les mettre en pratique avec efficacité.
Mais pour les médias, il faut s’extasier devant la propension de nos hommes politiques à l’amour conjugal, à l’absence d’économies, à l’inexistence de leur carrière professionnelle (sauf comme serf d’un autre politique), en somme devant leur inexistence physique et économique. Le sommet est atteint avec l’exigence d’une absence de conflits d’intérêts pour tous ceux qui aspirent à faire la loi ou à diriger le pays : mais d’où sortiraient ces ectoplasmes ? D’un enfer aseptisé ? La vie c’est gérer des conflits d’intérêts, en permanence, entre ce que l’on voudrait faire et ce que l’on peut faire, entre favoriser telle solution (et donc telle personne) ou telle autre (et donc d’autres personnes), entre passer en force (et déplaire à untel, mais plaire à l’autre), ou négocier (avec des personnes avec qui l’on fait des concessions).
La loi prévoit des bornes à ce qui est tolérable pour tout un chacun ; c’est suffisant, un homme politique est un homme comme un autre, il n’a pas besoin de règles particulières. Dans ce délire de pureté, on arrive à des propositions clownesques : le patrimoine et la vie passée de nos politiques ne peuvent être un frein quelconque à son désir de se faire élire ; la loi prévoit des cas d’inéligibilité, c’est suffisant. Au nom de quel Dieu, Mediapart, Le Monde et France Inter s’arrogeraient-ils le pouvoir de dénoncer une présence au gouvernement ou au parlement, si rien dans la loi n’y contrevient. Et les balivernes pleuvent : il existerait une morale anglo-saxonne, voire protestante qui peu à peu remplacerait dans notre pays, une tolérance dite catholique ou méditerranéenne vis-à-vis des écarts de mœurs ; enfin qui ne s’est pas tordu de rire devant les galipettes d'innombrables ministres anglais adeptes du sado-maso, ou de l’enrichissement sans frein de tel vice-président américain actionnaire d’Halliburton. Que la presse arrête de dicter au peuple ce qui est convenable, ou qui ne l’est pas
Au culiste, nom plus parlant du proctologue.
Pour changer du mâle blanc, hétérosexuel, de 50 ans, les adeptes de la diversité nous proposent, comme produit phare : la lesbienne, de couleur, à peine majeure ; leur principe est de mettre en pratique ce qu’ils récusent : la discrimination sur la base du genre (de préférence féminin, voire transgenre), de la race (plutôt noire, métis acceptés), de la préférence sexuelle (rien ne vaut l’homosexualité), de l'âge (un jeune plutôt qu'un vieux). A titre subsidiaire, ils veulent bien discriminer sur la base d’une religion, à condition de sélectionner un adepte de la religion musulmane. Nous voici revenus aux poncifs les plus éculés de ceux qui rejettent toute universalité entre les êtres humains. A force de vouloir combattre l’indéfendable, voici les féministes, les antiracistes, les homophiles, les islamophiles surpris en train d’utiliser des concepts de choix là où ils ne devraient jamais être utilisés. Qui va aller promouvoir le masculinisme, la cathophilie, l’hétérophile, la blanchitude ? Qui ne devrait s’insurger contre les absurdes parités hommes/femmes, les indécentes valorisations d’une culture gay, la glorification d’une civilisation de l’Islam difficile à caractériser, sans parler de la terrifiante idée d’une discrimination positive basée sur la couleur plus ou moins noire d’une peau ? Qui ne devrait combattre tous ces lobbies qui au nom de combats universalistes font régner l’obscurantisme.
Elle a abattu son mari Norbert Marot de trois coups de fusil dans le dos, et son complice Fabrice Drouelle, animateur de radio sur France-Inter, vient parfaire le boulot en déchiquetant la mémoire de la victime : violeur de ses filles, tortionnaire de sa femme, il n’aurait que mérité le châtiment qu’il a subi. Incroyable émission de ce pantin sur France-Inter : qui est-il ? Un procureur en charge de faire un procès à l’assassiné ? Le colporteur de dires uniquement relayés par la femme et les filles du soi-disant tortionnaire ? L’accusateur sans état d’âme de deux jurys d’assises qui ont condamné Jacqueline Sauvage parce qu’ils ont pensé que ce qu’elle racontait était un tissu de mensonges ? Le prétendu humaniste qui pérore avec deux avocates de la défense de Jacqueline Sauvage pour nous décrire toute la mauvaise influence qu’auraient exercée les magistrats sur les membres incultes du jury populaire ? Insupportable d’écouter tant d’approximations débités avec tant assurance, sans la moindre idée de ce que devrait être un débat contradictoire. La seule idée de ce pauvre type est d’exprimer au milieu des mensonges qu’il débite une solidarité avec les femmes battues : rien n’est plus contreproductif que de soutenir des grands principes avec de mauvaises causes et par une voix médiocre.
Fabrice Drouelle n’est que le ver de terre qui s’empiffre du cadavre de Norbert Marot.