Dans une période budgétairement difficile, ne serait-il pas légitime de pourchasser les flemmards, les abuseurs, les rentiers pour leur faire un tant soit peu rendre gorge; ignorer leurs jérémiades, leurs menaces, leurs chantages; sans les oublier, de les rendre plus responsables de l’utilisation des fonds publics.
Ces retraités qui chouinent parce qu’ils n’ont pas assez cotisé pendant leur période d’activité, ni même pour certains ne pas avoir assez économisé. Qu’attend-on pour ne plus indexer les retraites (en exceptant les plus faibles) pendant une longue période pour faire baisser substantiellement leur poids dans la répartition de la richesse nationale produite ? Soulager les actifs dans leur contribution aux inactifs.
Ces malades qui prétendent ne rien payer pour leur précieuse petite santé. Pourquoi n’augmente-t-on pas le ticket modérateur, en particulier substantiellement sur les honoraires payés aux médecins ? Celà mettrait peut-être fin aux abus de ceux qui ne viennent pas aux rendez-vous qu’ils ont pris, et permettrait de porter à cinquante euros la rémunération de la consultation (ils pourraient se payer des assistantes pour gérer leurs tâches administratives); des mesures qui mécaniquement augmenterait l’offre de soins.
Ces assistés qui se plaignent qu’ils ne ne reçoivent pas assez pour leur passe culture (qui sert à s’offrir de l’inculture), leur prime Noël (pour offrir des jouets chinois à des enfants qui n’en ont jamais eu besoin), leur allocation de rentrée scolaire (offrande illégitime quand elle est versée à des familles qui ne punissent pas leurs enfants indisciplinés à l’école), leurs allocations familiales (revenu inique quand il est versé à des familles dont les enfants ont subi des sanctions sévères dans leurs écoles); des mesures de responsabilisation des chargés de famille qui inciteraient les chefs de famille à exercer leur autorité vis-à-vis de leurs rejetons.
Ces chômeurs qui prétendent recevoir des indemnités toujours plus longtemps sans accepter des propositions d’emplois qui ne seraient pas dignes d’eux. Existerait-il des emplois indignes ? Faut-il nier l’adage comme quoi il faut travailler pour manger ?
Ces catégories de fonctionnaires qui exigent de gagner plus sans vouloir travailler plus. Quoi de plus évident pour un catégorie particulièrement mal payée, les enseignants, qui non seulement fait peu d’heures de travail sur l’année , mais s’arrange pour faire des formations pendant leurs de travail effectif, se dévoue pour des activités syndicales aux durées insondables, s’octroie des arrêts de travail qui dépassent les limites admissibles. Au lieu de recruter des professeurs, ne serait-il pas opportun d'augmenter leur traitement de 50% par exemple et de leur demander de travailler 30% de plus ? Celà pourrait au moins rendre le métier plus attractif, rehausser leur prestige.
Et le travail d'enquête continue.
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