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21 mai 2022 6 21 /05 /mai /2022 10:46

Les quelques traitres passés et récents, quelques vieilles, quelques homosexuels, un woke sorti de l’anonymat, les chantres du quoi qu’il en coûte et on s’en fout des déficits, la cohorte des excellences qui étaient et resteront probablement incognito, l’ensemble sous la férule d’un premier ministre connue pour ses charmantes qualité d’obéissance aveugle vis-à-vis  de ses supérieurs et de dureté criailleuse envers ses subordonnés. Un coktail peu gouteux pourtant muri longuement dans les alambics de l'Elysée.

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4 mai 2022 3 04 /05 /mai /2022 11:53

Celles qui voudraient être premier ministre ne se voient pas proposer le poste qu’il s’agisse de l’inusable Ségolène Royal ou son ex affidée Elisabeth Borne ; et celles à qui le tentateur de l’ Elysée l’aurait proposé, Valérie Rabault ou Véronique Bédague, pourtant assez obscures pour ne pas faire d’ombre à quiconque (quiconque étant le locataire du Faubourg Saint Honoré),  le refusent .

Certaines ne veulent pas être les tenancières des cuisines de Matignon : faire la tambouille, sans pouvoir choisir ni les produits, ni les recettes ne les tentent pas et c’est à leur honneur.

D’autres sentant l’âge de la retraite largement dépassé ou menaçant, aimeraient bien ajouter leurs grains de condiments à des politiques qu’elles n’auraient pas choisies pour enfin terminer en apothéose une carrière trop longue et c’est pitoyable.

Le président va devoir choisir un vieux mâle blanc ? Comme Philippe Saurel , le maire de Montpellier ainsi traité par une excitée du PS, ou Jean-Louis Borloo ainsi désigné par Macron lui-même.

Ou préfèrera-t-il un vieux roublard des palais gouvernementaux, tanné par des mises en examen, glorieux de son talent pour la procrastination ; qui ne penserait à Ferrand ses mutuelles et son inaction en faveur du logement, Bayrou ses assistants parlementaires et son bilan au ministère dans l’Education.

Que dirait-il d’un retour des fameuses équipes de Strauss-Kahn : un Griveau pardonné de ses grivoiseries ou un de ses copains encore en activité politique, un Ismaël Emelien réconcilié avec Brigitte ou un de ses séides encore en cour.

 

Il ne vous est pas facile  de trouver un successeur à un Philippe si fin dans sa gestion des gilets jaunes et à un Castex si gourd dans sa gestion du Covid.

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21 avril 2022 4 21 /04 /avril /2022 14:53

Ils n’ont pas parlé du rôle de la France dans le monde et de sa survie face à tous les dangers; de la place des français en Europe et dans leur pays et de la continuité de leur culture et de leurs activités; de la protection que l’état doit assurer aux malades, aux infirmes, aux dépendants, aux minorités, aux plus faibles, aux plus jeunes, aux plus vieux; de la survie à assurer d’une démocratie entre le populisme et la technocratie. Ils ont préféré nous assommer de mesures catégorielles, de surenchères clientélistes. Entre celui qui fait illusion en économie avec son absurde « quoi qu’il en coûte », en diplomatie avec son couple « franco-allemand » aux ordres d’égoïstes retraités teutons, en tant que chef d’armées avec sa retraite poutinesque du Mali, et celle qui présente son programme socialo-financier d’extrême-gauche, il n’y a pas à choisir mais à passer au karcher. Un bulletin plus blanc que blanc au second tour de la présidentielle pourrait être le commencement d’un indispensable nettoyage à concrétiser lors des élections législatives.

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11 avril 2022 1 11 /04 /avril /2022 14:40


Ni la femme aux chats, ni l'homme aux minets. L'une ronronne autour de ses propositions qui détruiront l'économie. L'autre, hors sol, a toujours donné une confiance indigne à des petits marquis du cyber monde et des sociétés de conseil américaines. Si le fou de Carracas était arrivé au second tour, alors un front pour tenter de sauver un minimum de nos libertés eût été nécessaire.

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18 février 2022 5 18 /02 /février /2022 16:38

Je suis pour le grand remplacement. Pour dégager Macron au profit de n’importe qui. Pour élire des députés qui ne soient pas de l’avis du futur président ou de leur président de parti et qui cumulent leur mandat national obligatoirement avec un mandat local ou régional. Pour remplacer tous les membres du Conseil Constitutionnel par des personnalités qui ne soient ni des politiques à recaser ni des arrivistes qui croient séant d’empiéter sur les domaines de l’exécutif et du législatif. Pour remplacer tous les membres du Conseil Supérieur de la Magistrature par des magistrats et des non magistrats exigeants sur la qualité des troupes et impitoyables pour les brebis galeuses. Pour démettre, sans les remplacer, tous les membres du Conseil Economique Social et Environnemental Régional, pour cause d’inutilité flagrante. Pour remettre aux administrations compétentes les pouvoirs dévolus à des Hautes Autorités aussi diverses que funestes : Conseil Supérieur de l’Audiovisuel, Haute Autorité de la Concurrence, Haute Autorité de la Santé, Haute Autorité pour la transparence de la vie Publique. Pour abolir des fonctions médiocres de par leur nature même : Défenseur des Droits, Ambassadeur des pôles. Pour redonner aux régions tous les pouvoirs dévolus aux départements. Et j'en passe.

Un grand coup de karcher pour mettre en place le grand remplacement d’élites racornies.

 

 

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20 janvier 2022 4 20 /01 /janvier /2022 11:44

L’écroulement de l’éducation nationale n’arrête pas de se poursuivre. Les éducateurs sont inaptes à former les enfants comme en témoignent les comparaisons internationales des enquêtes Pisa : seuls s’en sortent les enfants de milieux favorisés, les autres qui ne bénéficient pas de l’appui de leur famille ont des résultats catastrophiques ; et les chiffres sont de plus en plus mauvais au fil des années. Les enseignants sont encombrés d’un pédagogisme qui a fait les preuves de son inefficacité. Ils se sont laissés aller (avec la complicité active de l’encadrement) à la fuite devant les manifestations d’autorité envers leurs élèves. Ils prétendent être en sous-effectif, alors qu’ils sont surtout en sous-activité : mal payés pour trop peu d’heures de travail ; le recrutement de bons éléments en souffre, la médiocrité triomphe, le mérite est banni ; il serait temps d’augmenter massivement et leurs salaires et leur temps de travail.

 

Mais le mammouth est ingérable. Il faut le tuer. Il faut oublier le qualificatif de national de l’éducation et tenter de scinder cette administration entre les régions. Il faut élargir les possibilités de création d’écoles privées qui ont de meilleurs résultats et font face à une demande des parents qu’elles ne peuvent assouvir. Il faut restaurer l’idée que l’on ne peut accéder à un niveau supérieur sans avoir les fondamentaux du niveau inférieur. Il faut accepter que certains n’ont rien à faire sur des bancs d’un lycée et devraient, sans honte, ni stigmatisation, pouvoir accéder plus rapidement à l’apprentissage. Il faut restaurer l’autorité en transformant les sanctions disciplinaires en sanctions financières pour les parents. Il faut oublier dans les écoles tous ces programmes qui n’ont rien à voir avec la transmission des connaissances, leur apprentissage mais s’apparentent à du bourrage de crâne, de la propagande : éducation civique, éducation sexuelle, sensibilisation à je ne sais quels thèmes à la mode. Il faut arrêter de privilégier le sport aux dépens de la musique ou du dessin.

 

Je n’ai guère entendu de propositions qui aillent un peu dans ces sens : et portant tous les candidats sont d’accord pour dire que l’éducation est le futur de notre pays ; alors manquent-ils de courage, d’imagination, ou d’intelligence de la situation ?

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6 novembre 2021 6 06 /11 /novembre /2021 16:04

Association improbable de 47 pays dont les 27 pays de l’Union Européenne mais aussi tous les pays des Balkans y compris la Turquie, tous les pays du Caucase (Azerbaïdjan, Arménie, Géorgie), l’Ukraine, la Russie et la Norvège. On ne sait pas pourquoi la Biélorussie n’en est pas membre (rassurons-nous elle est candidate).

Le but de cette alliance entre états dont on ne voit ni les projets communs, ni les intérêts communs, serait « la sécurité démocratique » ! A hurler de rire quand on imagine Poutine, Erdogan ou le chef d’état de l’Azerbaïdjan dans cette pose.  Un petite cagnote de plus de 200 millions d’euros sert à entretenir un secrétariat général, une assemblée de députés de 324 membres et de 324 suppléants et un siège cossu à Strasbourg, et surtout faire fonctionner les perles de cette organisation ubuesque : la Cour européenne des droits de l’homme et un commissariat des Droits de l’Homme. Le coût peut paraître modique pour une organisation internationale ; en termes financiers oui, quoiqu’un sou est un sou ; le désastre est l’abdication de la jurisprudence française, voire la loi française devant les arrêts de la Cour Européenne des Droits de l’homme.

Pourquoi ne dénonçons-nous pas le traité de Londres qui a institué ce « machin » ? Peur de quelques grandes âmes qui se proclament humanistes ? Apathie devant un état de fait existant ? Et pourtant c’est bien la première étape pour que nos autorités judiciaires, législatives et exécutives reprennent la main sur un bien essentiel de la nation : le droit de gérer et contrôler son identité.

 

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19 septembre 2021 7 19 /09 /septembre /2021 17:46

L’Allemagne n’a rien à dire, son égoïsme est confirmé. L’Union européenne ne commente pas, son inutilité est patente. Macron reste seul avec son humiliation publique, orchestrée par Biden avec ses deux acolytes, l’australien et l’anglais, conviés à exprimer dans une conférence à trois improvisée, le chef derrière son pupitre, les sous-fifres derrière leur écran pour exprimer que les Etat-Unis, l’Australie, la Grande-Bretagne faisaient front uni dans le Pacifique contre la Chine, et que de ce fait les australiens devaient s’équiper auprès des américains. Cette farce indique le degré de sérieux avec lequel le président Macron est pris par les grands dirigeants de ce monde. L’effondrement de la présence de la France est ancien quoiqu’ elle soit encore bien utile pour assurer des missions de sécurité dans le Sahel par exemple. Mais elle n’est pas assez estimée, ni assez importante, pour des gants soient pris. Fessée publiquement sans que personne ne s’indigne.

 

Cette humiliation ne fait que prendre la suite de bien d’autres dont en particulier la fuite de Kaboul organisée par Biden sans concertation, l’abandon unilatéral par Trump des accords avec l’Iran pour l’inciter à ne pas développer l’arme atomique, la décision d’Obama de ne pas bombarder la Syrie quand elle avait utilisé des armes chimiques sans prévenir le président Hollande. Quels que soient les présidents américains, leurs opinions, leur caractère, une constante s’impose à eux, l’Europe, et même les pays qui pourraient compter comme la Grande Bretagne, la France et l’Allemagne ne pèsent pas grand-chose en géopolitique.

 

La réponse n’est pas évidente. Une politique étrangère ne se reconstruit pas en quelques semaines. Mais il serait temps de réexaminer ce qui est mis sous le tapis depuis au moins trois quinquennats : l’incorporation de nos forces armées dans l’Otan, les missions de l’OTAN, notre politique vis-à-vis de la Russie qui ne peut être un allié de la Chine sur le long terme, la nécessité d’une armée française élargie à d’autre partenaires pour nos interventions à l’étranger, l’urgence d’un budget militaire européen pour qu’elle puisse assumer sa défense, l’avenir du traité militaire de Londres qui liait la France et la Grande Bretagne.

 

De cet échec, il faut faire un tremplin pour convertir un ressentiment légitime en une indignation orchestrée en Europe, oublier les pays vendus aux américains comme les belges, les polonais, les ukrainiens, reprendre un dialogue avec les turcs tout aussi englués dans l’OTAN, essayer de forger cette alliance méditerranéenne du détroit de Gibraltar au Proche-Orient, reprendre le commerce avec l’Iran. En résumé briser les tabous, revenir à la grande politique gaullienne qui était de faire entendre la voix de la France dans le monde bipolaire américano-russe qui est devenu sino-américain, privilégier l’autonomie stratégique de la France face aux impérialismes.  Macron saura-t-il concevoir puis mener ce renversement de politiques au-delà de mouvements d’irritation sans portée ? J’en doute.

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12 septembre 2021 7 12 /09 /septembre /2021 12:02

La séparation des pouvoirs est remise en cause, une fois de plus, par la mise en examen de madame Buzyn. Cette fois ci par une juridiction d’exception pour des actes de nature politique ; la justice n’a pas à décider si telle décision prise dans le cadre gouvernemental dans le respect des procédures est imbécile, criminelle, fautive ; seul le parlement pourrait en décider. L’empiètement constant fait suite aux extravagances du parquet national financier qui, sortant de son domaine de compétence, a choisi de pourrir de facto la candidature de François Fillon à la présidence de la République en transformant une coutume de népotisme largement répandue en faute majeure ; là c’était une faute commise au sein du parlement, au détriment du parlement, et qui devait relever de l’intervention de ses pairs. Le cancer judiciaire est encore plus flagrant dans l’intervention du conseil constitutionnel qui juge de la pertinence des lois : un groupe de personnes nommées suivant des critères complètement obscurs par quelques grands représentants politiques s’arroge le droit de renverser les décisions du parlement ; le problème n’est pas de savoir s’ils ont raison, s’ils interviennent au nom de « valeurs » qu’ils prétendent trouver dans la constitution, mais de quelle autorité ils se targuent pour juger.

 

Alors pour justifier de ces abus, les parquets et les tribunaux invoquent leur indépendance. Le conseil constitutionnel lui se targue d’être une assemblée de sages. Ces mots ne veulent pas dire grand-chose : indépendants de quoi, de qui ? du peuple ? de Dieu ? Sages par rapport à qui ? aux élites imbéciles qui nous gouvernent ? aux majorités de crétins qui votent ? Les mêmes ressorts sont à l’œuvre dans les deux cas : transformer une situation de circonstance (pouvoir se saisir juridiquement d’un cas plus ou moins clair) en lieu de pouvoir (vieille idée pratiquée par toutes les oligarchies) ; surfer sur les émotions populaires, le goût d’immoler une célébrité, la flatterie de goûts avilissants (toutes les caractéristiques de l’ochlocratie). D’ailleurs qui les contrôle ? Un Conseil Supérieur de la Magistrature qui ne remplit pas son rôle (il suffit de consulter les sanctions qu’il a pris toutes ces dernières années) ; la mort qui taille au hasard dans le cas du Conseil Constitutionnel (elle ne choisit même pas les plus séniles). Il serait temps que les électeurs demandent une réforme de toutes les institutions judiciaires françaises et aussi les tribunaux étrangers qui prétendent nous imposer leurs jurisprudences en matières politique.

 

 

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11 août 2021 3 11 /08 /août /2021 15:33

Il existe en Europe et dans le reste du monde des démocratures qui singent la démocratie en organisant des élections parfois truquées et surtout en muselant l’expression publique. Notre arsouille de l’Elysée a fondé la démocrassouille : mélange d’une autorité défaillante, d’une concentration de tous les pouvoirs en des mains incapables et d’une révérence envers une médiacratie aux idées péremptoires et terrorisantes . Cet en même temps de glapissements autoritaristes envers des collaborateurs et des respectueux de l’autorité, de crises de flagornerie envers tous ceux qui lui crachent à la gueule et de soumission à toutes les idées à la mode est la marque distinctive de ce régime, ultime avorton d’une cinquième république à l’agonie depuis les tripatouillages chiraquo-sarkozystes.

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